![]() Enfin, il s’émerveille devant la beauté d’une forêt automnale aux multiples couleurs. Il se sent léger, heureux et en harmonie avec son environnement. Il voudrait que le moment s’éternise. Quel plaisir !!!! Après un long week-end d’émerveillement, il doit revenir à la monotonie, aux nuances de gris, de sa vie. L’homme aux « MASQUES » refait surface. Quel masque choisira-t-il dans sa penderie, pour mieux se protéger, afin de survivre à une autre journée au boulot ? Celui de l’homme aimable, de l’employé heureux, de l’humoriste, de la personne confiante, de la victime, du contrôlant, de l’indépendant, il en a accumulés tellement depuis sa tendre enfance. Il a appris, avec les années, à se résigner et à se créer une personnalité répondant aux normes des gens qui l’entourent et de la société. Ses masques lui ont rendu service à plusieurs reprises ; mais avec le temps, ils sont devenus de plus en plus ternes et usés. L’homme projette une certaine image qui aujourd’hui se confond avec les traits de sa vraie personnalité. Qui serais-je sans ces masques ? se demande-t-il. Il esquive rapidement la question pour ne pas avoir à plonger à l’intérieur de lui-même et ainsi risquer sa vraie nature. Il prend donc le premier masque à sa disponibilité, celui donc il connaît les moindres recoins, l’homme qui semble confiant. Il part pour le travail la tête haute, mais le pas lourd. Depuis longtemps, il a cessé de rêver, de se questionner, pour être dans le moule du bon pourvoyeur, du bon mari, du bon père, du bon employé. En mettant les pieds au bureau, son patron l’apostrophe pour une rencontre inattendue. Avec une poignée de main et un chèque de consolation, il se fait congédier après plusieurs années de loyaux services. Tragédie ou coup de chance ??? Après le choc de la nouvelle, il se surprend à ressentir une légèreté voir même une grande libération. L’univers de tous les possibles se met en place. Après une mûre réflexion, il prend la plus grande décision de sa vie, celle de briser tous ses masques. Dans un rituel de réconciliation avec lui-même, il redéfini ses croyances, retravaille ses attitudes intérieures et modifie ses comportements. Ce qui l’amène à redécouvrir ses passions et à oser son authenticité. C’est alors que la magie s’opère, quelle merveille d’assumer enfin avec une sincère confiance l’être « coloré » qu’il est. Ce qui pouvait sembler comme une tragédie à prime à bord lui a permis de trouver enfin un sens à sa vie. Depuis, l’homme aux masques n’est plus. Toutefois sa légende rayonne et inspire tous ceux qui ont le courage de laisser tomber leurs masques pour avoir accès à leur propre liberté d’Être et vivre de leurs passions. Que ferez-vous avec les masques qui vous empêchent de « donner un sens à votre vie » ? Ginette Gauthier, M.Ed. Andragogue spécialisée en créativité et développement de carrière CreaViva 819-342-8535 Creaviva.ca ![]() Lorsque nous ressentons la totalité de notre être, nous nous sentons UN avec le Tout. Nous sentir UN avec l’univers nous fait éprouver notre interconnexion avec toutes choses : un sentiment d’appartenir au monde, d’être chez soi, partout. L’une des façons pour ressentir la totalité de notre être et cette interconnexion est d’entrer plus étroitement en contact avec notre corps physique. Lorsque nous entrons en contact avec notre corps, nous entrons dans l’état de présence. Toutefois, cet état de présence est souvent difficile à maintenir dû à notre mental bavard, alors comment faire? Un truc qui pour moi fonctionne à tout coup, est d’apprendre à me fondre dans mon souffle et de m’ouvrir à la sensation. Pendant que j’observe la sensation dans mon corps, je ne pense pas. Pour développer une plus grande présence, l’un des moyens est de s’ouvrir à la sensation. Observer et ressentir notre corps : ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur. Voici un exercice à pratiquer sans réserve, où que vous soyez :
Cet exercice simple, pratiqué plusieurs fois par jour, vous permettre d’atteindre un état de présence et de légèreté, lequel deviendra de plus en plus, votre état naturel. Dans l’ouverture et la réceptivité de notre corps, nous trouvons équilibre, paix et harmonie. Nous devenons libres. Nous trouvons sagesse, confiance et foi. Nous accédons à notre vraie nature, à notre essence. Et là, nous n’avons plus rien à faire ni à chercher. Nous n’avons qu’à apprécier et célébrer puisque TOUT EST LÀ. Nicole Richard Conférencière | Coach holistique | Tantra et sexualité sacrée info@nicolerichard.ca Page Facebook : Nicole Richard 819-212-0428 ![]() Je vous parle de compassion car j’ai fait, lors de mes lectures, la rencontre de Karen Armstrong qui a publié « Compassion – Manifeste révolutionnaire pour un monde meilleur » (éditions Belfond). J’ai calqué des textes de ma recherche pour mieux exposer librement mon propos et ma passion. Je vous invite à découvrir ce Manifeste révolutionnaire et de mettre en pratique d’explorer les 12 étapes de la compassion selon Karen Armstrong qui est La grande spécialiste des religions et profiter de sa connaissance intérieure des différentes traditions spirituelles afin de vous plonger dans Les 12 étapes de la compassion (ou Comment développer sa compassion)
La compassion : de quoi s’agit-il réellement? Etymologiquement, ce terme signifie « souffrir avec ». Être dans la compassion n’est pas nécessairement synonyme de pitié ou de charité, comme l’on peut communément le croire. Au contraire, cela signifie s’intéresser pleinement à l’autre, à ses ressentis et ses difficultés... Il s’agit ainsi d’être attentif à la souffrance de l’autre, sans exception, afin de l’aider à la soulager. La compassion n’est pas non plus nécessairement l’affaire des religions. C’est une valeur universelle « au cœur de toutes les traditions religieuses, spirituelles et éthiques », comme le rappelle la Charte de la compassion, fondée sur cette idée : « traiter l’autre comme nous souhaitons nous-mêmes être traités » c’est ce que l’on appel la Règle d’OR : Ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas que l’on te fasse. La Charte de la Compassion Pendant l’automne 2008, des milliers de personnes de par le monde contribuent à la conception de la Charte, en envoyant leurs suggestions par internet. Un « Conseil des consciences » se réunit ensuite pour élaborer la Charte sur la base de ces suggestions. Sa version finale est dévoilée le 12 novembre 2009 comme l’avait souhaitée et rêvée par Karen Armstrong. Le précepte de compassion, qui est au cœur de toutes les traditions religieuses, spirituelles et éthiques, nous invite à toujours traiter autrui de la manière dont nous aimerions être traités nous-mêmes. La compassion nous incite à nous engager sans relâche à soulager les souffrances de tous les êtres et à apprendre à ne pas nous considérer nous-mêmes comme le centre du monde, mais à être capable de placer autrui à cette place centrale. Elle nous enseigne à reconnaître le caractère sacré de chaque être humain, et à traiter chacune et chacun, sans aucune exception, avec un respect inconditionnel et dans un esprit de justice et d’équité. Cela implique aussi de s’abstenir d’infliger de la souffrance à autrui, en tout temps et en toutes circonstances, que ce soit dans la sphère publique ou privée. Agir de manière violente, que ce soit par malveillance, chauvinisme, colère ou égoïsme; exploiter qui que ce soit ou le priver de ses droits fondamentaux; inciter à la haine et dénigrer autrui - même nos ennemis - sont autant de négations de notre condition humaine commune à toutes et à tous. Nous reconnaissons que nous n’avons pas toujours été capables de vivre avec compassion, et que d’aucuns ont même infligé bien des souffrances au nom de la religion. Pour cela, nous invitons solennellement tout le genre humain ~ à placer la compassion au cœur de toute éthique et de toute religion ~ à adhérer au principe ancestral selon lequel toute interprétation des Écritures qui suscite violence, haine ou mépris, est illégitime ~à s’assurer que la jeunesse soit informée de manière respectueuse et authentique sur les autres traditions, religions et cultures ~ à encourager une approche positive de la diversité des cultures et des religions ~ à se doter d’une compréhension empathique des souffrances de tous les êtres humains, même de ceux considérés comme ennemis. Nous devons de toute urgence agir pour que la compassion devienne une force dynamique et lumineuse qui puisse nous guider dans ce monde de plus en plus polarisé. Enracinée dans la ferme détermination à transcender l’égoïsme, la compassion peut faire tomber les barrières politiques, idéologiques, dogmatiques et religieuses. Née de la réalisation de notre profonde interdépendance, la compassion est essentielle aux rapports entre humains et pour une humanité accomplie. Elle est la voie vers l’illumination et elle s’avère indispensable à la création d’une économie plus juste et d’une communauté globale harmonieuse et pacifique. 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LES 11 QUESTIONS DE PdG SONT: 1- Pourquoi? Parce-que ( je suis un pro à cette question, j'ai 23 ans d'expérience comme éducatrice) 2- Aimez-vous les gosses? On le souhaite fortement, voir la réponse 1 ! :) 3- Selon-vous quel est le secret de la Caramilk? Elle contient de l'huile de palme ! Ça dit tout !!! 4- Crémeuse ou Traditionnelle? Crémeuse avec de la sauce St-Hubert ou Traditionnelle sans sauce. 5- Où est Charlie finalement? Dans le cœur de chaque enfant qui est en nous ! 6- La meilleure chose qui me ce soit arrivé c’est? ...me ce soit arrivé ? Par pire question ! La naissance de mes 2 enfants, Cliché mais tellement vrai ! Sans eux, je ne serais plus de ce monde ! 7- Est-ce que vous payez cash ou par crédit? Cash, j'ai failli tout perdre à cause du crédit ! 8- Quelle est votre blague préférée? Toutes les blagues de mon fils. Mettons qu'il a un fort potentiel pour devenir humoriste mais il préfère devenir avocat. 9- Quelle sorte de pizza mangez-vous? Végétarienne avec full olives et piments forts 10- Avez-vous quelque chose à avouer? Étant pas mal (trop selon mon chum) un livre ouvert, je dirais que non ! 11- Quel sport aimez-vous et quelle équipe particulièrement? Le hockey surtout et le CH ! Mais j'aime beaucoup le Baseball et les Blues Jays... J'aime le sport en général parce que je trouve tellement impressionnant de voir les gens pratiquer cet art (parce que oui c'est de l'Art) Les 11 nommés de Semeurs de bonheur sont : 1- Jesuisunemaman.com 2- Tournade rousse 3- KarineChampagne.ca 4- KimAuclair.ca 5- Mamanbooh.com 6- Le Missionnaire.TV 7- Solutionera 8- Mon yoga virtuel 9- Educatrucs.com 10-Parlons Dépression 11-SuccesZen.com Mes 11 questions sont :
1- Pourquoi vous bloguez ? 2- Votre petit bonheur quotidien c'est ? 3- Avez-vous une ou des routines et si oui lesquelles? 4- Votre saison préférée ? 5- Votre couleur préférée ? 6- Quelle est votre plus grande passion ? 7- Quel sport pratiquez-vous ? 8- Votre film le plus marquant ? 9- Votre chanson qui vous fait danser à tout coups ? 10- Avez-vous un animal de compagnie et si oui le ou lesquelles ? 11- Quel livre recommanderiez-vous sans hésitation ? ![]() J'ai toujours, du moins depuis le plus loin que je me souviens, eu tendance à mettre les gens sur un piédestal. Pas n'importe qui mais beaucoup de gens. Rapidement, après avoir rencontré une personne, elle montait à mes yeux de quelques marches au dessus de moi, trônant sur la plus haute marche du podium. Je buvais dès lors ses paroles, j'épiais (ok j"exagère un peu mais pas tant) ses moindre gestes et je désirais réussir à gravir quelques échelons qui me rendraient tout près de cette personne... Si au moins je pouvais être la moitié de ce qu'elle est... Et puis chaque fois cette reine (ou roi) tombait tranquillement (parfois brutalement) de son podium et je me cassais la gueule... Ironique tout de même que ce soit l'autre qui tombait mais que ce soit moi qui me fessait mal... Mais comme c'est moi qui l'y avait placé c'était normal que ce soit moi qui endure le choc... En vieillissant (que c'est bon vieillir) et en vivant trop de ces situations casse-cou, j'ai appris à mettre les gens moins haut et avec le temps à cesser de les faire grimper ces marches, cette colonne que je leur bâtissais de mes idéologies les plus folles. Parfois, pas souvent mais parfois, ces gens avaient bâtis d'eux-même quelques marches avant que je les mette sur un socle bien haut. Leurs désirs de pouvoir, de succès, de paraître dominaient leur désir d'authenticité. D'autres fois, c'était tout simplement mon manque de confiance en moi qui bâtissait au complet la tour, sans aide, juste ma pure folie des grandeurs pour les autres. Chaque fois, les masques tombaient, ceux que j'avais créé et ceux qu'ils c'étaient créé et soudain c'était la déception... Il m'arrive encore parfois d'avoir le goût de monter une colonne, un podium pour une personne mais je me souviens rapidement que cette personne est une humaine comme moi, une personne qui fait de son mieux, de son moins pire parfois, qui apprend et qui grandit... Je me souviens que cette personne à des qualités et très certainement des défauts et surtout je me souviens que chaque marche que je mets pour se rendre au piédestal c'est une attente que je mets face à cette personne et que les attentes, je ne peux que m'en donner à moi-même pas aux autres. Alors voilà, quand l'envie me prend de faire monter une personne sur un piédestal, je la regarde droit dans les yeux (ok dans mon imaginaire là) et je lui dis : Descends de ton piédestal on va se parler d'égal à égal... et c'est toujours pas mal plus gagnant comme relation !!! Et vous, ça vous est déjà arrivé de mettre une personne si haut que la chute est terrible ? Hélène Boissonneault |