Bonjour, bonsoir ou bon matin !
J’ai encore beaucoup pensé à vous ces derniers jours. Oui car je me questionne toujours autant sur le bonheur et je me disais, que n’accepter que le bonheur était-ce rejeter tout le reste (les parties sombres) ? Et s’il n’y a que le bonheur qui compte, qu’est-ce que je fais de toute cette partie de ma vie si noire que je ne veux en fait, pas voir? Ces derniers jours, j’ai regardé plusieurs vidéos sur Internet et j’ai lu beaucoup de textes sur l’éveil dites « spirituelle ». Je dois vous dire que je me suis au départ, éclatée la tête à tenter de comprendre tout cela. Oui j’ai tenté de comprendre jusqu’à comprendre que je ne pouvais rien comprendre de tous ces écrits… avec ma tête ! J’ai donc continué mon étude de la dite chose, écouté différents témoignages de gens ayant vécu cette ouverture du cœur et voilà ce qui en est découlé pour moi. Quelque chose m’a réellement bouleversée ces derniers jours et à créé un mouvement intérieur immense. Qu’est-ce qui s’est passé exactement, je ne sais pas encore. Quelque chose m’a complètement à la fois troublée et ouvert les yeux…. Je vous raconte. Si je regarde ma vie, mon fameux passé et même mon présent, qu’est-ce que je fais depuis aussi longtemps que je me souvienne, lorsque quelque chose de difficile ou de négatif m’arrive ? Deux choses: Premièrement, je peux fuir la souffrance (nourriture, alcool, sexe, médicaments etc.) ou deuxième, la nier (en me faisant à croire que la vie est belle, en regardant ma liste de gratitude, en allant marcher ou en écoutant une émission drôle par exemple). Que je la fuis ou que je la nie cette souffrance, les deux moyens reviennent à dire une seule et unique chose : que j’y résiste ! Je ne veux pas la voir ! Non, je ne veux que des belles choses dans ma vie ! Quelle utopie ! Dans ce monde duel dans lequel nous vivons, j’ai toujours appris qu’il y avait le bien ou le mal. Le bon ou le mauvais. Des expériences heureuses ou malheureuses. Je me sens donc heureuse ou malheureuse : Dans le bonheur ou le malheur. Oui, il y a certes cette zone grise et qui dit que je suis parfois moyennement heureuse. Mais non, ce n’est pas de cela que je vous parle. Je vous parle du jugement qui me fait dire qu’un événement est bon ou pas, bien ou mal. S’il est bon, je cherche à le garder, je m’y attache. S’il est mauvais, je le déteste et veut le faire partir. Dans les deux cas, je résiste, j’ai peur. Peur de perdre le bon ou peur d’accepter le mal. Wow ! Je répète : peur de perdre le « bon », qu’il se termine, qu’il me fuit ou peur d’accepter le « mal », de la voir en face, de l’observer. Dans les deux cas, OUTCH, je résiste. Quelle dépense d’énergie ! Je poursuis…. Donc, dans ces textes sur l’éveil que je me suis mis à étudier « par hasard » ces derniers jours, on me parle constamment d’une unité qui existerait au delà de tout. De cette force qui ne juge pas et qui englobe aussi bien les évènements positifs que négatifs. De cette force qui serait amour inconditionnel. [1]Cette énergie qui unie tout et qui ne juge pas, ça serait cela notre essence divine qui permet à toute expérience d’être vécue. Wow, déjà là, c’est immense pour moi. Puis-je parler de truc divin ? Que vont dire les gens ? Voilà, je résiste. Mais je continue. Je vais donc vous dire l’exercice concret que j’ai débuté ces derniers jours, suite à mes nouvelles lectures. Je ne sais pas d’où l’idée m’est venue mais en faisant cette expérience, il y a eu une transformation impressionnante en moi. Le calme et la paix, au delà des mots se sont pointés. Je vous le partage donc en toute simplicité. Il n’y a certes pas de technique ou de voie unique pour se purifier. Je vous dicte la mienne, rien de plus, avec tout mon cœur. Donc, je me trouvais dans ma pièce de méditation, fraîchement repeinte en bleu ciel. Je me suis étendue sur le sol, bras et jambes ouvertes. Petite musique douce était présente et le calme régnait dans la maison. Après quelques exercices de respiration, je commençai à me détendre. Je n’attendais rien. J’étais là, simplement. Je me suis alors imaginé que tout mon être s’ouvrait et laissait entrer absolument tout : expériences ou pensées douloureuses que j’ai eu de par le passé ou qui se vivaient dans le présent. Peut importe, tout était accepté. Je ne résistais à rien, je ne jugeais rien. Tout s’ouvrait! Tout y passait. Tout ce que je trouvais souffrant, tout ce que je jugeais négatifs, tout ce qui me faisait mal a coulé en moi. Tout cela à eu le droit d’être. Simplement, sans blocage. Ce fut une expérience magique. Je laissais les émotions ou images me visiter. Je les observais. Je les vivais pour vrai, pour la première fois! Moi qui avais fait tant de thérapies !C’est ainsi seule chez moi sans rien ni personne que ça se passait vraiment? C’était donc si simple que cette voie du cœur ? J’ai beaucoup pleuré car pour la première fois de ma vie, je m’exposais, j’étais tellement vraie. Je n’ai pas pleuré pour toutes ces choses dites douloureuses. Non j’ai pleuré de voir à quel point j’avais toute ma vie résisté pour ne pas montrer ma souffrance, ma sensibilité. J’avais résisté toute ma vie pour cacher la honte d’être moi pour survivre. Et ce qui allait découler de cela était une protection que l’on nommerait l’Ego. Toute cette couche de résistance qui ne veut pas montrer qui elle est était très épaisse. Cette chose, l’Ego, serait celle qui nous permettrait de survivre en ce monde mais qui aurait pris trop de place. Cette chose qui devrait se dissoudre en nous et nous permettre de juste fonctionner dans notre réalité à pris des proportions hors du commun et a créé tant d’illusions, de souffrance. Une de ces illusions est que je dois résister à ce qui me fait mal. Conséquence, je ne fais que recréer encore et encore, plus de souffrance en moi. D’ou le bel adage : ce à quoi je résiste, persiste ! Cette semaine, j’ai vraiment intégré, vécu la « non- résistance », la libération d’une partie de moi. En thérapie, souvent on nous disait d’écrire notre histoire de vie (les trucs douloureux) puis de relire les évènements sans cesse jusqu’à ce que l’on ne ressente plus rien. J’ai fais par le passé l’exercice avec beaucoup de motivation mais, cela ne se faisait qu’au niveau intellectuel. J’étais toujours souffrante, mon passé me faisait mal et revenait sans cesse me hanter. Cette semaine, j’ai revécu cette même expérience mais avec mon cœur ouvert. Je souffrais tellement ces derniers temps que je ne pouvais plus fuir le mal qui me consumait. J’ai eu donc la possibilité de regarder en face ce monstre qui grossissait de plus en plus depuis quelque temps ou de continuer ma fuite. Étant complètement exténuée de fuir, j’ai choisi de regarder ce monstre en face et vous savez quoi ? Je n’en suis pas morte ! Au contraire. J’ai vécu une telle libération après avoir accepté ce qui me faisait si peur depuis toujours bref, de regarder ce à quoi je résistais ! Voir ma puce de cinq ans pleurer dans la cour de récréation car elle ne veut pas aller à l’école, voir que la relation avec le père de ma fille ne voulait pas s’arranger depuis maintenant plus de 10 ans, voir que je détestais toujours mon corps, voir que.. voir que… était devenue tellement difficile que je n’avais plus la force de me faire à croire que cela allait. Je n’avais plus la force de fuir dans mes dépendances. Tous mes problèmes étaient les mêmes et se répétaient depuis toujours : ils n’avaient qu’arboré des formes un peu différentes. Pourquoi tous mes problèmes se perpétuaient dans cette similitude au gré du temps ? Pourquoi je me sentais prise au piège et incapable d’avancer, de m’en libérer ? J’ai donc décidé de laisser monter en moi toute cette douleur et de la laisser ainsi couler, partir, me purifier. Il paraît que lorsque cette résistance quitte, la paix et l’amour que l’on ressent est si pure que cela est indescriptible. C’est un peu ce que je ressens ce matin. Je me sens libre. Non pas excité, heureuse ni joyeuse. Non je me sens calme et en paix. C’est ce que je vous souhaite de tout cœur. Accepter, TOUT et vous libérer pour ainsi ressentir toute cette paix. C’est ça le bonheur pour moi en ce moment. En espérant que vous ressentiez au delà de ces mots, tout l’amour et le bonheur qui en émane. Plein d’amour. Au plaisir d’avoir de vos nouvelles. Merci d’être qui vous êtes. Val xx [1] Je vous invite à trouvé sur le Web les entretiens de Nassim Haramein, physicien, qui expliquent toutes ces choses dites « spirituelles » de manières scientifiques avec preuves à l’appuie. Et oui, on peut prouver l’unité de l’univers maintenant avec des chiffres ! ![]() Osez votre rêve! Cela fait plus de 12 ans que j’accompagne des gens en planification créative de carrière pour les amener à découvrir un projet en lien avec leurs passions et ce qui donne un sens à leur vie. Je reste stupéfaite de voir un grand nombre de personnes, malgré tout leur potentiel et leur vitalité, vivre une vie insatisfaisante où leur rêve n’est qu’un rêve. Cela me rappelle « Le conte de Noel » écrit par Charles Dicken. Vous savez le Scooge qui la veille de Noel rencontre trois fantômes. Celui du passé qui lui fait revivre son enfance, son adolescence, sa vie d’adulte. Celui du présent qui lui fait prendre conscience que son vécu présent découle de ses choix passés. Celui du futur, représenté par le fantôme de la mort, qui l’invite à prendre conscience des conséquences d’une vie de regrets. Cette belle histoire représente une réalité pour bien des gens. Les gens vivent dans le passé, sont insatisfaits du présent et s’attendent à un futur meilleur. Cependant à moins de poser des gestes concrets et différents, ils peuvent déjà avoir une vision de leur avenir. Je vous invite à visiter votre passé, à habiter votre présent et à regarder les possibilités que vous réservent l’avenir. Si vous n’êtes pas satisfait de vos prédictions, il est temps de changer votre monde et de passer à l’action. Depuis toujours, je crois qu’il faut réaliser nos rêves et bannir les « j’aurais donc dû ». Je souhaite que chaque personne ait le bonheur de trouver sa place dans la vie. Dans le choix de vos actions, soyez votre avenir… Ginette Gauthier www.ginettegauthier.com ![]() Si vous aviez à mettre des pourcentages sur le temps que vous accordez à « FAIRE » et le temps que vous vous accordez à « ÊTRE », à quoi ressembleraient-ils? (soyez le plus honnête possible…pour vous-mêmes) Serait-ce : FAIRE = 50% / ÊTRE = 50% ?... FAIRE = 80% / ÊTRE = 20% ?... FAIRE = 95% / ÊTRE = 5% ?... Dans notre rythme de vie moderne, il est fort probable que votre pourcentage soit plus élevé dans le « FAIRE ». Les valeurs véhiculées et prônées par notre société nous incitent à bouger, à performer, à se dépasser, à s’impliquer partout, à rayonner, …bref, à être des Super Héros! En tant que tel, ceci est tout à fait honorable. Le piège est d’aller dans l’extrême, d’aller à fond dans seulement une polarité alors que l’être humain que nous sommes en a 2… Chaque personne procède de 2 principes (polarités) interagissant constamment ensemble : le masculin et le féminin. Le principe masculin « FAIT ». Le principe féminin « EST ». Les valeurs masculines concernent ce qui est hors de soi; les valeurs féminines concernent ce qui est en soi. Il y a donc (et aujourd’hui plus que jamais) un équilibre à atteindre entre le FAIRE et l’ÊTRE, comme société et comme personne. Lorsque nous arrivons vivre ces deux principes de façon équilibrée, nous vivons un état d’harmonie et d’unité. Épanouir et émanciper le principe féminin ne concerne pas uniquement les femmes, cela concerne aussi les hommes qui ont à laisser cette polarité s’exprimer. Le principe féminin est un appel à un contact avec l’intérieur, et donc, en lien avec la notion même de bonheur! Le principe féminin, lorsqu’il est bien épanoui en soi et au sein de notre vie, nous permet de vivre pleinement dans l’ÊTRE, de RESSENTIR et VIBRER la Vie. Il n’y a pas QUE dans l’action que se vit l’intensité. Prenons un exemple. Supposons que vous entreprenez de cultiver un jardin. Vous préparez la terre, l’ensemencez, l’arrosez, l’entretenez. Vous êtes dans le FAIRE, dans votre principe masculin. Le temps et la nature fait son œuvre et votre jardin regorge alors de récoltes abondantes. Si vous persistez dans l’action de semer vous ne récoltez pas. Vous vous retrouvez plus loin, ailleurs, à semer encore et encore. Pour accueillir et jouir des fruits de votre jardin, vous devez vous arrêtez et récolter. Vous devez embrasser votre principe féminin pour recevoir et apprécier avec gratitude ce qui abonde dans votre vie. Cela ne signifie pas de tout arrêter, cela signifie de prendre le temps de se retrouver dans l’ÊTRE. Honorer le principe féminin en nous c’est vivre les valeurs qui gravitent autour de l’ÊTRE. Nous en récoltons ainsi de nombreux bénéfices et bénédictions : 1. Notre ressenti et notre intuition s’affinent; 2. Nous cessons de nous préoccuper et d’anticiper pour RESSENTIR les choses; 3. Nous nous sentons plus épanouis et sereins et vivons un plus grand bonheur; 4. Le sens de notre vie et de notre raison d’être devient plus clair; 5. Nous devenons véritablement alignés sur notre essence et notre plan de vie; 6. Les gens et la Vie nous disent « OUI »; 7. Les actions et projets que nous entreprenons sont féconds; 8. Nous passons d’une conscience individuelle à une conscience collective, nous permettant d’œuvrer pour le bien à une plus grande échelle. À vous maintenant de poursuivre et d’enrichir cette liste de bénédictions… Nicole Richard Conférencière, formatrice et thérapeute holistique Page Facebook : Nicole Richard Pour me rejoindre : 819-212-0428 / nicole.transmutation@icloud.com ![]() Alors que je donnais des ateliers d'écriture à des élèves du secondaire, j'ai pu réaliser comment la majorité d'entre eux étaient timides avec peu d'estime et de confiance en soi. Je me suis mis à leur faire découvrir de petits jeux d'écriture simples. Comme premier exercice, ils devaient se présenter au groupe, un peu comme si leur description aurait été mis à l'endos d'un livre. Cela m'a permis de constater que deux d'entre eux étaient des passionnés de l'écriture. Ils avaient d'ailleurs tous les deux entrepris la démarche d'écrire un bouquin. Plus je leur faisais faire et vivre ces jeux, qui auraient semblé pour plusieurs enfantins, plus je voyais leur estime et confiance en soi prendre place. Je me trouvais tellement choyée de vivre avec eux cette belle transformation. Les ateliers avançaient dans le temps, ces jeunes progressaient à pas de géant et que de fierté pouvions nous ressentir, les éducatrices spécialisées et moi, de les voir ainsi prendre tout doucement un bel envol. Puisque le slameur professionnel David Goudreault donnait une activité d'écriture sur la poésie à l'école, il nous a été suggéré de nous joindre au groupe d'élèves inscrits, ce que j'acceptai avec plaisir. Son dynamisme, sa belle énergie et surtout sa façon bien à lui d'enseigner le slam était magique. Alors que les élèves avaient terminé leur composition, David se promenait dans les rangées afin de sélectionner les jeunes qui voudraient lire leur dissertation devant leurs pairs. À ma grande surprise presque tous mes élèves se sont permis de partager leur écrit. Eux qui quelques semaines auparavant avait peine à lire devant un groupe de moins de 7 personnes performaient avec émotion et fierté. WOW je sentais de supers émotions prendre place en moi pour avoir pu contribuer à cette éclosion. Les ateliers tiraient à leur fin et je voulais à ma façon les remercier en leur permettant de se faire voir et entendre via les médias locaux que je connaissais bien. C'est avec euphorie que je les avait invité à participer avec moi à une émission de radio en direct avec mon bon ami Joël Côté, qui à ce moment là était à l'antenne de 99.3 FM. Deux jeunes, les deux intervenantes, le frère et la mère de l'un deux étaient présents pour l'occasion. Prêt à vivre ce moment fort, ils ont savourer cet expérience avec une belle frénésie. Ce qui pour la majorité des gens aurait été un frein, pour eux ça s'est avéré un super défi qu'ils ont relevé avec brio. En guise de cadeau, Joël leur avait enregistrer l'entrevue qu'il leur a remis. Chacun de nous était empreint d'une grande euphorie. L'un d'eux, tenait à nous remercier à tour de rôle pour tout ce que ces ateliers d'écriture, cette entrevue, le fait de passer dans le journal local, lui avaient permis de vivre. Encore là, ouff les émotions ont vite pris place et ça été un moment fort intense. D'avoir pu donner des ateliers d'écriture à ces élèves m'a fait grandir et prendre conscience que si on croit en l'autre, si on peut l'aider à se propulser vers des sommets qu'il peut atteindre, c'est un présent qu'il nous faut célébrer. De les voir ainsi se dévoiler afin d'Être fût pour moi un bonheur partagé. MERCI MERCI MERCI à ces jeunes doté de ce potentiel incroyable qu'il m'ont fait découvrir et apprécier. MERCI du fond du cœur. Christine Dubois, auteure et conférencière https://www.csdessommets.qc.ca/MyScriptorWeb/scripto.asp?resultat=8675P Christine Dubois conférencière, auteure ![]() Je ne sais pas qui a affirmé, un jour, que l'amour rend aveugle mais preuve est faite que cette personne a tort. Je suis en amour avec mon chum depuis 17 ans déjà et... je vois encore! Par contre, j'imagine que mon amoureux croit dur comme fer à cette maxime puisqu'il oublie de ramasser ses graines de toasts à chaque fois qu'il en mange. Ou presque. C'est important que je le précise parce qu'à son avis, j'exagère. Faut croire que nos yeux n'ont pas la même vision des choses. Par ailleurs, je suis l'heureuse mère d'un beau garçon de 9 ans et je l'aime de tout mon cœur. Mais devinez quoi? Lui aussi oublie de ramasser ses graines de toasts et/ou tout autre petit résidu d'un quelconque aliment qu'il mange parfois (souvent), confortablement installé devant la télévision. Est-ce juste à moi que ça arrive, ce genre de situation? Bien sûr que non. Je connais déjà la réponse mais je me questionne quand même. Comment se fait-il que mes hommes ne voient pas les graines qu'ils laissent traîner là où ils mangent? Ni les traces qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils se déplacent dans la maison avec leurs souliers sales? Pourtant, quand je leur montre du doigt ce dont je parle afin qu'ils comprennent mon point de vue (eux diraient quand je chiale), leurs yeux semblent s'ajuster et voir clair, comme par magie! Il est où le problème alors? Je n'y comprends rien. En plus, l'optométriste m'a confirmé que tout était beau lors des derniers examens de la vue. Mystère et boule de gomme! J'allais, pour une énième fois, exprimer mon insatisfaction en voyant les graines de toasts qui traînaient sur le comptoir quand je me suis souvenue que mon chum avait mangé du gruau et que mon fils avait mangé des céréales ce matin. Alors que moi? Une toast avec du fromage! Mea culpa. Finalement, je suis du même avis que cette personne: l'amour rend aveugle. Mon chum, merci de m'aimer. Mon fils, merci de m'aimer. Promis, je ne verrai plus jamais les graines de toasts du même œil! |