L’été a été difficile, mais l’automne a été encore pire d’un point de vue financier. Mais vous savez quoi ? Au printemps, les fleurs renaissent, encore et toujours. La vie est un cycle éternel de haut et de bas, des montagnes russes jusqu’à ce que mort s’ensuive (ah oui ! je sais, ça semble lugubre, hein ?).
« Je ne laisse plus aucune épreuve me faire oublier que les fleurs poussent. » Quand je suis tombée sur cette phrase en lisant le livre de Rémi Tremblay, La chaise rouge devant le fleuve, je n’ai pu m’empêcher d’arrêter ma lecture pour y réfléchir… Et depuis ce temps, ces quelques mots me trottent dans la tête et me reviennent sporadiquement. Malgré les épreuves, malgré le froid, la pluie, l’absence de soleil… les fleurs poussent et rendent notre vie plus belle. Sachez qu’il en est de même avec les épreuves de la vie, les hauts, les bas, la mort, la tristesse, la déception… Rien de tout ça n’a le pouvoir d’enrayer le bonheur, l’amour, le rire. Il n’en tient qu’à vous de vous en souvenir dans les moments les plus sombres de votre vie. Bon courage ! (Vous aimez cette citation ? Elle est disponible dans ma boutique en ligne [http://rosedesign.ca/boutique/] en reproduction, format numérique ou original.) Marie Rose rosedesign.ca
0 Commentaires
Cette semaine, j’ai beaucoup réfléchi sur l’engagement. Ma tête y est allée d’une sincère lancée de pensées à une vitesse assez impressionnante ! Une semaine peu productive pour les affaires, mais vraiment enrichissante pour mon cœur. Mais ce n’est pas au sujet de l’engagement dont je veux vous parler, mais bien d’une des réflexions qui en est ressorti, soit sur la responsabilité de ses décisions. J’aimerais porter plus précisément ma réflexion sur les choix. Parce que je pense que nous avons toujours le choix de tout et la question qui revient souvent est : Réalisons-nous vraiment que nous sommes responsables de nos choix ? Notre parcours est parsemé de prises de décisions qui propulsent notre vie dans une multitude de chemins différents, mais qui ont toutes quelque chose en commun : ils proviennent de nos choix à nous, qu’on le réalise ou non ! Il est plus facile de croire que non. Par exemple, lorsque nous tombons malades, blâmer le contact avec des gens affectés par le même virus est bien plus simple que d’analyser notre niveau de sommeil, d’alimentation et d’exercice physique. Cependant, il est possible que nous soyons une victime de la sélection naturelle et que certaines maladies soient déposées dans nos vies sans trop pouvoir en comprendre la raison. Encore une fois, nous avons toujours un choix à faire soit celui de choisir comment vivre la situation. Et c’est un choix. Les gens positifs le sont par choix, même si souvent ils ne s’en rendent pas compte. Un commentaire comme :Pas le choix de le voir comme ça ! Lorsque quelqu’un vit quelque chose de difficile et qu’il en démontre une grande résilience au travers de l’épreuve. C’est faux ! On a toujours le choix de la façon dont on vit, perçoit, assimile, et négocie toute situation. On choisit, personne d’autre ne le fait pour nous. J’ai observé, les gens positifs le sont par choix. Et leur humilité transparait à même la prise de décision comme si c’était intégré, ancrée à leur ADN. Les gens positifs, lorsqu’ils prennent une décision le font en disant que c’est normal, que c’est la seule façon de faire. Les gens négatifs lorsqu’ils prennent une décision le font en blâmant les autres, les circonstances, la vie de leur avoir déposé ces obstacles sur leur chemin. Alors, j’en conclus qu’on ne prend pas nécessairement nos responsabilités ! Quelle conclusion n’est-ce pas ? Et si on pouvait ? Je vous le dis, on peut ! Cependant, pour les gens autant positifs que négatifs, ce processus coûte des efforts. Pour les gens de tendances négatives, envoyer paître leur égo est douloureux. Réaliser l’ampleur de notre responsabilité au travers de nos actions et prendre le contrôle est loin d’être un exercice fort simple. Pour les personnes positives, s’offrir une tape sur l’épaule, se permettre un compliment ou se donner des fleurs lors d’un bon coup provenant d’une façon consciemment positive de se prendre en charge reste tout aussi difficile ! Qui éprouve de la facilité à se valoriser ? Bien sûr je ne crois pas en l’équilibre. On oscille entre les apprentissages et les acquis, entre le conscient et le réflexe et même entre le rêve et la réalité. Les vérités changent pour chaque personne, impossible d’y émettre une théorie fixe. J’aime croire en la force de la pleine conscience et je suis de celles qui choisissent le positif. Selon ma façon de vivre, l’égo à sa place, mais pas dans la chaise du boss ! Et l’égo, selon moi, prend trop souvent en charge bien des affaires ! Isabelle Nantel
Soyez la meilleure version de vous-même, sortez de votre zone de confort, le bonheur se trouve de l’autre côté de la peur, le bonheur est par ici suivez le, le succès vous appelle répondez, vous méritez mieux n’attendez plus, vivez enfin la vie de vos rêves, vous êtes votre propre limite…
De nombreuses fois par jour, nous entendons ou lisons ce genre de slogan et cela s’imprègne subtilement dans notre inconscient. Petit à petit nous commençons à croire que nous ne sommes pas suffisamment, que le bonheur est extérieur, que notre vie n’est pas assez. La quête du bonheur débute et n’a pas de fin, car ce bonheur est illusoire et extrinsèque, il dépend des autres, du matériel, d’une recherche incessante. Et pourtant le bonheur est simple, facile, accessible, le bonheur est en nous, pas besoin de course, de quête, simplement besoin de calmer notre esprit et de cesser cette course incessante.
Se contenter et contempler ce que nous possédons nous apportera davantage de bonheur que toutes les envies et désirs du monde.
Se contenter ne veut pas dire aspirer à mieux, se contenter c’est remercier la vie pour ce que nous avons, sait de savoir que nous sommes choyés pour ce que nous possédons, c’est se satisfaire de ce que nous détenons. Hélène Boissonneault Deux mois sont passés depuis la rentrée. Les vacances estivales ne sont plus qu’un vague souvenir et chacun a repris sa routine. Les enfants à l’école et les parents au boulot. Beaucoup d’entre nous se sentent pris dans un tourbillon avec un horaire surchargé et ressentent de la fatigue… Un peu comme si nous n’avions pas eu de vacances. Ce fait est d’autant plus vrai que la majorité des Canadiens ne disposent que de 17 jours de congé annuel, ce qui est trop peu pour faire le plein d’énergie et décrocher réellement mental et corps. Fait très surprenant, un grand nombre de travailleurs n’utilisent pas la totalité de leurs jours de congé et n’en prennent que 14 sur 17. Ce qui représente au total 31 millions de jours de congés non pris annuellement. Du côté des États-Unis le même phénomène s’observe et des compagnies vont même jusqu’à donner une prime allant de 2000 $ à 5000 $ pour inciter leurs employés à prendre la totalité de leurs vacances. Alors que tout le monde réclame plus de vacances et de loisirs, la situation ne manque pas d’intriguer et de questionner ce paradoxe. Le travail définit-il réellement une personne ? Pour beaucoup, le travail est ce qui les définit dans la vie. La question que l’on se fait poser généralement lors d’une première rencontre est « Que fais-tu ? ». Et rarement « Qui es-tu ? » La réussite se mesure à l’aune de la carrière, des échelons gravis dans une organisation et du pouvoir détenu. Le vide fait peur Dans ce contexte, il est difficile de décrocher réellement du travail. Le vide se fait sidéral. « Qui serais-je en ne travaillant pas ? » « Comment vais-je meubler ce temps ? » Cette question des vacances peut amener son lot de questionnement : qu’est-ce qui me plaît à moi en réalité ? comment puis-je être à l’écoute de moi ? Restons connectés Ne pas décrocher totalement, être joignable par son patron et ses collègues, ne pas prendre tous ses congés, sont des moyens fabuleux pour ne pas se questionner, pour se faire reconnaître dans le faire, d’avancer à l’aveugle et d’emprunter l’autoroute de l’habitude, si aisée en surface. Je n’y comprends rien, je suis au bout du rouleau Fort heureusement, notre corps, l’ultime gardien de la paix, est là pour nous montrer la voie. À travers sa voix s’expriment les malaises, dysfonctionnements et incohérences. Sous le couvert d’une fatigue qui n’en finit plus, d’insomnie, de problèmes intestinaux et toutes sortes d’autres phénomènes, le corps rappelle à l’ordre… parfois subtilement… parfois violemment. Son seul et unique désir à ce corps est vire la joie et l’allégresse de la vie en ramenant l’équilibre. Une routine pleine de sens prémuni de la morosité et ouvre le champ de la joie dans le quotidien. Ne plus emprunter l’autoroute d’une routine débilitante est un choix qui demande conscience, questionnement, écoute et courage. Cela demande de regarder sa vie et d’oser ses désirs et ses besoins. La voix de la peur se fera sans doute entendre ! Qui dit questionnement, dit souvent remise en cause de l’ordre établi, à plus ou moins grande échelle. Oser répondre à ses besoins, ses désirs, ses envies, ouvre ce champ à plus de joie et d’authenticité, où l’être peut reprendre le pas sur le faire. Quelques pistes pour créer de nouveaux chemins de traverse :
Corinne Jeanguillaume La gratitude, selon le Larousse, est la reconnaissance pour un service, pour un bienfait reçu, sentiment affectueux envers un bienfaiteur. Manifester de la gratitude.
La gratitude fait partie des 24 forces de caractère en Psychologie Positive. Voici 5 des nombreux bienfaits de la gratitude pratiquée au quotidien :
Hélène Boissonneault Il fut un temps où dire non n’était vraiment pas une chose facile pour moi et la plupart du temps, lorsque je disais oui, je me disais non. Avec le temps, je devenais frustrée, découragée, triste, choquée, etc. Je faisais les choses avec peu de motivation et l’envie de rendre service ou d’aller à une fête se perdait petit à petit, car je le faisais majoritairement avec un sentiment d’obligation.
Et puis un jour, j’ai lu cette phrase : Lorsque vous dites « oui » aux autres, assurez-vous que vous ne dites pas « non » à vous-même. De Paulo Coelho et j’ai compris que je devais me dire oui en premier et que je m’assure que chaque fois que je disais oui aux autres, je ne me disais pas non à moi-même. J’ai pris conscience que dire non n’était pas facile, mais ce qui était encore plus difficile c’était de le respecter. Je devenais de plus en plus bonne à dire NON quand je n’avais pas envie de faire quelque chose, mais je me justifiais à chaque fois afin d’atténuer ma culpabilité et que chacune de mes justifications était suivie d’une réplique de la personne qui demandait une chose. Ce qui donnait à peu près ce genre de conversation : La personne : Peux-tu venir m’aider à faire tel truc samedi ? Moi : Non, je dois faire telle chose. Je suis déjà occupée, j’ai une obligation X. La personne : Ha ben tu peux venir après, on va en avoir pour la journée. Moi : Je dois prendre soin de ma fille. Je ne l’ai pas vue de la semaine. La personne : Apporte-la. Moi : OK je vais y aller quand j’aurai terminé mes trucs. Et me voilà à dire oui, à ne pas respecter mon NON. Même si j’avais dit à la personne que j’étais fatiguée, que j’avais envie et surtout besoin de me reposer, que ma semaine avait été difficile ou que je voulais vraiment être présente pour moi… peu importe ce que j’aurais dit, elle aurait eu une contre-réplique. Avec le temps, j’ai découvert que NON, est une phrase complète. N est le sujet, le O le verbe et le dernier N le complément. L’effet que cela a lorsque ce court mot de 3 lettres retentit dans les oreilles de l’interlocuteur est magique. Notre NON est respecté, le sujet est clos, on passe à un autre appel. Les gens ne sont pas habitués de se faire dire non tout simplement, sans excuse, sans justification, sans rien à ajouter de plus. Avec de la pratique, cela est devenu naturel de le faire. Mais j’avoue que j’ai eu besoin de me pratiquer. Ma pratique le plus efficace fut avec les enfants, car ils sont les maîtres de la négociation et de la revendication. Une fois que l’on maîtrise le NON avec les enfants, on le maîtrise avec tout le monde. Dorénavant, lorsque je dis OUI, je sais que mon OUI est sincère. Je sais que je ne ME dis pas NON, je sais que cela me fera vraiment plaisir. Je sais que lorsque je dis NON, je ne suis pas égoïste pour autant… je sais qu’il sera plus respecté et, en prime, j’accepte plus facilement les NON des autres. Hélène Boissonneault Qui dit conciliation travail-famille veut en général dire équilibre. Et qui dit équilibre veut dire « qui arrive à se tenir comme un équilibriste sur une corde raide » ! Dans ce sens, et bien peut-être que le mot équilibre autant que conciliation peuvent faire du sens.
Se tenir comme un équilibriste sur une corde raide… le moindre faux pas peut me faire tomber. Je vous avoue que parfois, c’est tout à fait comme ça que je me sens. Depuis près de vingt ans, ma routine du matin est devenue ma meilleure alliée (ou presque). Je me lève tôt, j’écris, je médite, je fais mon yoga, je vais marcher ou jogger, je prends une douche et je prends un bon déjeuner sans gluten et sans lactose, avec une tisane en fonction des besoins du moment. Je m’alloue un temps selon l’horaire du jour donc parfois chacune de ces étapes ne dure que 5 à 10 minutes, parfois elles durent plus longtemps. Et parfois, j’ajoute même de la création artistique spontanée sur de la musique pour un autre 5 minutes ! Je mentirais si je vous disais que ce rituel a été tenu 365 jours par année depuis 20 ans. Et en ce moment, justement, je ne m’y tiens plus… Voyez-vous, depuis quelques semaines, je me lève à 5 h ou 5 h 30 du matin pour répondre aux courriels auxquels je n’ai pas pu répondre la veille, j’essaie d’arrêter vers 6 h pour honorer mon rituel, et quand ma fille est avec moi, je vais la réveiller à 6 h 45. Puis, puisque pour le moment nous habitons plus autour de Magog/Orford en cherchant une maison commune avec mon amoureux au lieu d’en avoir chacune une, je vais porter ma fille à l’école à 30 minutes de là où nous sommes. Et depuis un certain temps, les mandats se multiplient, et je suis même appelée à voyager à l’international. Et tout ça, ce sont de bonnes nouvelles ! Et en même temps, et bien le moindre petit imprévu peut tout faire basculer. J’exagère. Mais finalement pour être en mesure de réussir à tout faire entrer dans l’horaire, sans diminuer la qualité de mon travail, sans avoir un impact sur mes clients, en voulant continuer de conserver un temps de qualité avec ma fille, j’ai sacrifié le temps pour moi, le temps de mon rituel. Je le fais encore, mais beaucoup moins souvent. Et j’ai sacrifié le temps avec mon amoureux. Et les impacts sont aussi sur ma vie avec mes amis, qui n’est pas très nourrie en ce moment. Donc, j’ai réussi à concilier travail-famille, mais au prix de quoi et de qui ? Je considère que ce concept est galvaudé et désuet. Je considère aussi qu’il manque une facette à ce concept, sinon deux. Si on disait plutôt, concilier vie personnelle et vie professionnelle, déjà ce serait mieux. C’est inclusif. Mais encore faudrait-il, pour chacun de nous, définir de façon TRÈS précise ce que ça veut dire pour soi concrètement. Et encore faudrait-il se donner la discipline aimante de revoir régulièrement ce que ça veut dire pour soi. Car en fonction de nos moments de vie, de nos transitions, des transitions de nos conjoints, de nos enfants, de notre travail, des saisons, etc. ça varie et c’est loin d’être statique. En conclusion, je vous partage la réflexion que je me fais de nouveau présentement : Quelle place réelle et concrète ai-je maintenant envie d’accorder à chacune de ces sphères de ma vie ? Et est-ce qu’en empruntant l’expression « conciliation travail-famille », je me serais inconsciemment éjectée de l’équation ? Ça vaut tout de même la peine de se poser la question sérieusement, avec la légèreté de l’équilibriste qui sait tout de même qu’il est expérimenté, dans cette danse avec le déséquilibre !!! Josée Godbout Et puis tu penses plus. Tout devient présent, là, maintenant et l’importance ne se lit que dans ses yeux.
Un moment, qui fait tourner ma tête d’entrepreneurE vers l’absence de pensées intrusives, est tout récemment réapparu dans mon quotidien. Un temps, une période, petite, grande, je ne me rappelle jamais, où tout le reste n’avait plus de raison de m’achaler. Ce petit répit d’affaires trop compliquées, trop partout, juste ce moment-là m’a remis en pleine forme, autant physique que mentale. Être avec un humain qu’on aime, apprécie, admire, qui nous offre ses mots, ses regards et puis ses joies, ses peines et ses peurs. C’est la distance entre ces humains et nous, la proximité entre leur âme et la nôtre qui comble notre besoin de se nourrir d’amour. Ce moment, c’est toutes ces minutes partagées avec cette personne qui pense que je lui offre plus qu’elle ne le fait pour moi. Cette personne pour qui ces minutes lui permettent d’y croire encore me donne la certitude que la gratitude est le chemin à choisir, à suivre, à prendre. Comme un retour du balancier, elle accepte ce qu’elle a toujours donné aux autres. Je lui donne ce que j’ai toujours accepté d’elle. Ma grand-maman vient de franchir cette étape qui terminera son histoire avec une touche de partage, de résilience et d’abandon. Au travers de cette étape, qui lui appartient, j’y dépose mes traces en guise de réconfort et d’espoir. D’espoir qu’un jour, ces échanges inspireront l’échange et qu’avec, la gratitude viendra toute seule. Isabelle Nantel Au moment d’écrire ce billet, l’automne est encore avec nous, il fait encore très beau et très doux. Il n’en sera pas ainsi pour très longtemps. Malheureusement, c’est le début de la saison « sombre ». Cette saison difficile, nous demande un long moment pour s’y adapter et ne fait pas la joie de tous. Comment s’y préparer ? Je viens de terminer la lecture du « le livre du HYGGE » (prononcer le HOU-GA) qui est en quelque sorte une méthode de vie qui repose sur l’approche qu’ont les Danois à faire des pires instants climatiques de grands bonheurs délectables. Le Président de l’Institut de Recherche sur le Bonheur de Copenhague, Meik Wiking en est l’auteur. Nous qui vivons difficilement la saison « sombre » et en sommes très incommodés, nous aurions avantage et surement un intérêt à suivre quelques recommandations du peuple le plus heureux du monde, les Danois. Il faut savoir qu’au Danemark la seule chose dont les gens jouissent le plus, c’est l’obscurité, puis viendra l’été très abrégé sans compter les 179 jours de pluie par an ! Pourquoi ces gens sont-ils si HEUREUX ? Cela aurait beaucoup à avoir avec des facteurs comme la liberté, la confiance, la générosité, la qualité de leurs relations ; la famille, les amis et leurs relations intimes et une bonne gouvernance du pays. Comment font-ils pour passer au travers de l’automne, l’hiver et leurs 179 jours de pluie par année ? Voici quelques secrets qui ne sont plus très bien gardés… LEUR MANIFESTE P 46 et p47 AMBIANCE Baisser la lumière et sortir les chandelles. Beaucoup de chandelles ! Les Danois en sont les plus grands consommateurs au monde PRÉSENCE Soyez dans l’instant présent. Éteignez vos portables. Être ensemble surtout à la maison. PLAISIR Café, chocolat, biscuits, gâteaux. Encore, encore et encore ! ÉGALITÉ Le « NOUS » avant « JE ». Répartissons les tâches et le temps de parole. GRATITUDE Faites-le plein. Vous ne trouverez pas mieux. HARMONIE Ce n’est pas une compétition. Nous vous aimons déjà. Pas besoin d’étaler vo exploits. CONFORT Mettez-vous à l’aise. Faites une pause. Pensez détente. TRÊVE Pas de drame. Nous discuterons politique un autre jour. ÊTRE ENSEMBLE Construisez des relations et des anecdotes. REFUGE Ceci est votre tribu, un lieu de paix et de sécurité Chez nous Les Danois sont inspirants et futés et nous aussi… L’air frais… Sortir le plus souvent possible et respirer l’air frais. Ne rester surtout enfermé dans la maison. Il suffit de s’habiller chaudement et de faire de vos sorties à l’extérieur des moments agréables. Les bienfaits de vos activités hivernales reposent entièrement sur votre prédisposition les accueillir. Très souvent, il suffit d’avoir un nouvel aménagement de vie pour y trouver du plaisir. Par exemple : aller visiter des amis à pied, faire des emplettes en allant marcher, du magasinage… Bouger est un remède peu dispendieux. Ce que nous appelons le Zen… Il existe quelques objets que vous pouvez confectionner, recycler ou acheter à bon prix pour vous préparer à recevoir la saison « sombre ». En voici quelques-uns :
Ajouter à tout ceci, les gens que vous aimez et qui vous aiment, un petit temps pour vous et voilà vous êtes prêts à affronter l’humidité de la pluie d’automne et le froid de la neige d’hiver ! Prenez un soin jaloux de vous. Créativement vôtre, Gi * « LE LIVRE DU HYGGE » Meik Wiking, Éditions First, 2016 Gi Larose Master Coach certifié 514-781-2822 https://www.facebook.com/ginette.larose.37 https://www.facebook.com/ImagineLInspiration/ confort — hygge — douillet — hiver – automne – saison sombre — danois — bonheur — prendre soin de vous
C’est il y a 5 ans, pourtant j’ai l’impression que c’est comme si c’était tellement plus loin, je suis à des années-lumière de cette femme-là. Un déclic dans ma tête, une succession de prise de conscience de travail sur moi et d’envie de mieux et de plus beau. Un désir de me faire confiance, de m’aimer vraiment, d’être enfin bien avec moi-même.
Le processus de guérison s’était enclenché quelques mois auparavant suite à la rencontre du fond d’un puits qui semblait pourtant sans fin par moment. Avec cette prise de conscience est venue la réalisation de choix pernicieux que j’avais fait et de personnes tout aussi malsaines que j’attirais. Avoir une faible estime de soi et ne pas nous faire confiance nous font laisser entrer dans notre vie des personnes qui ne sont pas saines pour nous. J’ai navigué de couple en couple, de relation en relation plus malsaine les unes que les autres. Chaque fois, l’âme brisée et l’estime plus basse encore. J’ai rencontré sur ma route des hommes et des femmes malsains pour moi. Des humains qui ne m’ont pas permis de cheminer vers un amour de soi plus fort, mais au contraire vers une destruction massive de moi. Et puis, le déclic est arrivé et j’ai décidé que cela prenait fin. Ce ne fut pas une route facile, ce ne fut pas sans rechute, car l’égo parle fort parfois, mais ce fut guérisseur et révélateur de qui je suis vraiment et qui je veux laisser entrer dans ma vie maintenant. Maintenant, je laisse entrer uniquement des personnes saines pour moi, des personnes qui font briller ma lumière encore plus fort, des personnes d’Amour et de douceur ! Et depuis, mon existence s’en porte tellement mieux et parfois je me souviens que c’était il y a 5 ans et j’ai l’impression que c’est il y a une autre vie. Hélène Boissonneault |