Que voulons-nous cultiver en 2018 ? Que souhaitons-nous entreprendre en 2018 ?
Même si nos rêves nous paraissent souvent lointains et inaccessibles, il est très important de les cultiver avec tout ce que nous possédons. N’allez pas croire qu’il est contreproductif de rêver, bien au contraire. Rêver est nécessaire, et même souhaitable, pour la santé mentale et pour avoir une vie plus passionnante et captivante. La « magie » du rêve est souvent traitée comme une affaire d’enfants et pourtant les rêves ont des conséquences des plus sérieuses. Stimulés par la volonté et la détermination, les rêves nous aident à atteindre nos besoins les plus profonds. L’imaginaire attisé nous donnera un envol vers la réalisation de nos ambitions. La source est de vouloir des changements dans nos vies et à accéder à ce qui nous passionne. Crois en tes rêves ! Se le répéter tous les jours est une pratique qui mène à l’accomplissement de soi, au renforcement de nos désirs et de l’amélioration de toutes les sphères de notre vie. Croire fermement que « Tout est possible » marque un impact positif sur notre imagination et ouvre notre cœur aux possibilités infinies vers l’avenir. De plus, nourrir ses rêves dresse un sens à nos actions et entraine notre cerveau dans une vibration positive pour atteindre nos objectifs. Il faut donc entretenir des émotions positives et briser les liens avec des émotions paralysantes comme les peurs, anxiétés, doutes, sentiments d’impuissance, culpabilité, jugement sur nous et sur les autres… Avoir de grands rêves et s’en réjouir ! Tout ce qui vous entoure a commencé par une idée, une intention ! Les rêves sont catalyseurs de notre destin et stimulent notre motivation pour franchir chacune des étapes qui calquent votre chemin afin d’atteindre votre but ; la réalisation de notre rêve. Préparez avec soin votre planification. Fixez-vous aussi des objectifs intermédiaires pour avancer vers vos rêves. Avoir de grandes visions vous donne la direction vers laquelle vous pourrez aller et EXPLORER. Prenez le temps de les écrire. Lorsque vous vous sentez d’attaque, établissez un plan d’action, c’est ainsi que l’on transforme un rêve en réalité. Chaque fois que vous reviendrez à votre liste de rêves vous revenez vers vous et vous honorez le meilleur de vous-mêmes. Tableau de visualisation de vos rêves. Pour vous aider, il est intéressant de faire un exercice de visualisation qui vous permettra de ne pas perdre de vue vos rêves. Prenez le temps de faire le tableau des vos rêves. Il suffit de choisir des images, des photos, des illustrations ou des mots inspirants qu’on découpe dans des revues et de les coller sur un grand carton que l’on place à un endroit stratégique afin de le voir le plus souvent possible. Soyez conscient de ce qui vous arrive et mettez-vous au commander de votre réalité. Prendre également la responsabilité de vos actions. Si vous ne bougez pas, vous seul en êtes responsable. Les résultats en seront le reflet. Donc, passez à l’action « UN PAS À LA FOIS ». Soyez l’acteur principal dans la réalisation de vos rêves. Tous les petits gestes que vous poserez tous les jours sont votre marche sur « votre » chemin. Ajouter aussi des moments pour vous ; marche, méditation, lecture, etc. Choisissez les gens qui vous entourent, car ils auront un impact sur votre environnement. Assurez-vous que les gens vous appuient et qu’ils vous comprennent. Aussi faites-vous aider. Offrez-vous la possibilité d’EXPLORER, EXPÉRIMENTER et EXPOSEZ-vous à plusieurs expériences de vie pour confirmer vos rêves et les RÉALISER. Créativement vôtre, Gi Ginette « Gi » Larose Master Coach en exploration créative [email protected] http://www.imagineinspiration.ca 514-781-2822
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L’ÉQUILIBRE EN 3 TEMPS
Deuxième partie Parfois se joue en nous une sorte de combat, une véritable bataille intérieure entre émotions, sensations, pensées, désirs. L’affrontement qui fait rage se traduit par des va-et-vient incessants, des rebuffades, des pertes d’énergie considérables. L’humain est un être complexe, s’appuyant sur trois dimensions : corps — esprit – âme. Lorsque le lien entre les trois parties est rompu, quand le dialogue pacifiste n’est plus là, l’humain se sent désaxé et l’équilibre magique est rompu. Prendre soin de notre trinité nous rapproche de l’équilibre, de la joie et de l’expansion. Le mois dernier, nous entamions une danse en trois temps pour expérimenter cet équilibre entre nos trois parties et ne plus vivre comme des êtres tronqués. Dans cette exploration en trois temps, nous abordions l’aspect du corps. Dans ce billet, nous touchons la deuxième pierre angulaire de notre équilibre : notre esprit. La dimension de l’esprit est ce qui renferme notre intelligence, notre capacité à raisonner, à faire des choix, nos pensées et nos croyances. Êtes-vous mené par le bout du nez ? Vous est-il déjà arrivé de vivre comme si vous n’étiez qu’une marionnette et qu’une force supérieure vous menait par le bout du nez ? Les données rentrent dans votre esprit, sans que vous en ayez parfois conscience. C’est un peu comme le disque dur de votre ordinateur qui se retrouve plein, avec quelques virus au passage, sans que vous sachiez concrètement quels sont les dossiers qui s’y trouvent. La course au plus La technologie a bien sûr accentué la cadence : les informations circulent à une vitesse fulgurante et notre hyper connexion nous rend bien souvent impatient, voire anxieux à l’idée de manquer quelque chose. Le toujours plus, plus vite, plus haut, plus fort a quelque chose d’angoissant. L’Urban Dictionnary a défini pour la première fois en 2006 le terme FOMO : Fear of Missing Out, la peur de manquer quelque chose. Et maintenant, il y a le terme FONK : Fear of Not Knowing, la peur de ne pas savoir. La surabondance d’informations, d’images, de vidéos, la somme de choix donnent le vertige. L’assiette est toujours pleine même quand l’envie de manger n’est plus là. Paradoxalement, même si je n’ai plus faim, je continue de me gaver. Parce qu’en fin de compte, ça rend vivant et donne la sensation d’être partie prenante du tissu social. Ne serais-je pas à côté de la plaque, out of order, si je ne suis pas le rythme de cette danse effrénée ? L’hyperchoix, l’hyper information nous rend finalement dingue. Entre le temps bousiller à lire les critiques de tel ou tel produit, film, spectacle, musique, le papillonnage d’un article à l’autre, d’un livre à l’autre, sans pouvoir tout lire finalement, désagrège notre vitalité et nuit à l’image de soi. Tout le monde a l’air d’y arriver, d’être partout tout le temps, alors pourquoi moi je n’y arrive pas ? Pourquoi ne suis-je pas l’hyper performante, toujours active et forte ? Qu’avez-vous à déclarer dans vos bagages ? Outre la technologie et notre environnement, il y a aussi notre héritage : bagage culturel, bagage sociétal, bagage familial, bagage personnel. Cet héritage se loge aux confins de notre esprit et se reflète par des façons d’appréhender le monde, des modes de pensée réflexes, des jugements, des réactions, des « règles » que l’on applique sans réfléchir. Ces règles sont tellement bien ancrées dans notre esprit que nous en avons souvent peu conscience. Elles régissent nos vies, comme une force supérieure. N’entendons pas parfois « C’est plus fort que moi, je suis comme ça » ? On se retrouve enfermé dans une programmation mentale, une véritable prison, qui nous empêche d’avancer et d’expérimenter la joie. Les clés de l’expansion de l’esprit Retrouver un équilibre joyeux de l’esprit ne peut passer que par un examen minutieux de ce qui peuple notre esprit et une certaine posture d’être : une volonté de remettre en question ce qui est. Ce n’est certes pas une chose toujours facile, car cela vient bousculer des automatismes et remettre en cause notre héritage et il est parfois nécessaire de choisir de déshériter. Mais que le voyage en vaut la chandelle ! Lorsque j’ai entamé mon processus de formation en PNL (programmation neuro-linguistique), c’est comme si j’avais mis un coup de projecteur sur des décennies d’automatismes. Ma volonté de goûter la joie et de choisir ce qui entrait dans mon cerveau m’a permis de faire ce voyage de déprogrammation puis de reprogrammation. Aujourd’hui, je ne me sens plus la marionnette d’une force supérieure. Je choisis et je peux expérimenter la joie du libre-arbitre et de la conscience. « Il ne peut y avoir de révolution que là où il y a conscience. » Jean Jaurès La révolution de l’esprit, sa quiétude, son équilibre passe par la conscience de ce qui est. Nul jugement à y avoir là, ni blâme. Simplement un constat et un véritable engagement envers soi pour entrer dans la spirale vertueuse de l’esprit sain et serein. Quelques pistes pour expérimenter l’équilibre de l’esprit :
Et rappelez-vous, tout agit comme des vases communicants : la paix de l’esprit nourrit la paix du corps (et vice-versa) et ouvre la voie de l’expression de l’âme. Mais nous parlerons de ce dernier volet le mois prochain ! Corinne Jeanguillaume www.monbusinessemoi.com Je ne sais pas si vous avez aussi cette impression, mais on dirait que de nos jours, tout doit être parfait. Notre fil Instagram, nos publications Facebook, nos enfants, notre vie de famille ou amoureuse, alouette !
On nous parle souvent de vivre l’instant présent, de profiter des bons moments, mais je crois qu’on a oublié de bien vivre les moins bons instants aussi. Je suis d’avis que chaque situation a des bons et des moins bons côtés (j’essaie de me le rappeler souvent hein !) et que c’est tout aussi important de vivre nos deuils et nos échecs. Parce que comme le dit souvent une personne proche de moi, l’échec, ce n’est pas grave, ce n’est pas fatal, ni honteux, ni mauvais. Alors aujourd’hui, j’ai envie de vous dire, au diable les qu’en-dira-t-on ! Vous avez raté votre recette de pain ? Votre entrevue a été un désastre ? Votre peinture n’a pas plu au client ? Eh bien prenez quelques minutes pour rager, pester, fulminer afin de passer toutes les ondes négatives qui sont en vous ! Vous pourrez surement passer plus vite à autre chose après, vous ne croyez pas ? Soyez dramatique !!! Puis passez à un autre appel... Marie Rose rosedesign.ca Vous aimez cette citation ? Elle est disponible GRATUITEMENT dans ma boutique en ligne rosedesign.ca/boutique/fond-decran-galaxie-ill-get-over-it/ La fin de semaine qui vient de se terminer en fut une de ressourcement intense. Ce fut un moment juste pour moi seule avec moi ! J'ai réalisé que ce ne m'était pas arrivé depuis au moins 2013 de passer 24 heures seule avec moi même sans enfant, sans conjoint, juste moi avec moi. J'ai savouré ce moment, j'en ai profité et apprécié chaque seconde.
J'ai fait ce que j'aime, ce qui me plait, ce qui me tentait sans pression, sans stress... Juste être. Il y a quelques années, la seule idée de passer du temps seule avec moi même m'aurait fait faire une crise de panique extrême mais plus maintenant, au contraire, j'étais dans la plus grande sérénité possible. Hier soir, lorsque mon fils est revenu j'étais reposée, ressourcée, heureuse et sereine. Tout allait plus lentement pour moi. J'ai ralenti mon rythme au courant de ces presque 48 heures à suivre mon rythme et mes envies. J'ai ralenti ma cadence et j'ai gardé ce rythme encore aujourd'hui. Tout allait plus lentement. Mon fils m'en a fait la remarque tellement il trouvait que je n'étais pas au même rythme qu'habituellement. Ce moment seul avec moi même est à refaire... et je n'attendrai pas 5 ans cette fois pour le faire ! Je me promets de le faire quelques fois par année. Être seule, vivre un moment de solitude, a plusieurs bienfaits dont se reconnecter à nos émotions, aller à son rythme, faire une belle et douce introspection, cela nous permet de recharger nos batteries, de faire ce qui nous plait réellement... et tellement plus encore. Hélène Boissonneault Dernièrement, j’ai participé à une discussion entre plusieurs personnes au sujet des coups de masse 2017. Un sujet qui m’interpellait ; relater les coups de masse vécue au cours de l’année 2017 avait une trame constructive, voire même salutaire. Et pourtant.
Au lieu de me voir participer activement, je me suis sentie sans mot. Je ne pouvais absolument pas identifier un seul coup de masse. Pire, je n’arrivais même pas à définir ce qu’est, au final, un coup de masse ! Bien sûr je comprends que nous, humains raisonnables et émotifs pouvons vivre des situations embêtantes et malgré cette constatation, je n’arrivais toujours pas à donner un seul exemple de coup de masse pour TOUTE mon année ! Impossible ! Je suis humaine, raisonnée et émotive aussi. Pour quelle misère de raison ne pouvais-je pas prendre part à cette discussion qui m’a, au départ, bien attiré ? J’ai poussé ma réflexion assez loin et, pour être honnête, secrètement, puisque je me sentais assez hors champ. J’avais du mal à comprendre ce fait, pire, je n’arrivais pas à y croire ! Ai-je oublié ? Oublier le négatif est une réaction violente de la part de notre cerveau et ça arrive ! Alors, peut-être ais-je développé un réflexe d’expulser les mauvaises expériences hors de ma mémoire ? Comme si ma tête contrôlait mes émotions… oh attends ! Ce n’est pas ça pour tout le monde en fait ? Nos pensées alimentent nos émotions, mais aie-je vraiment balancé tout le négatif pour ne garder que le bon ! Je ne crois pas… Alors serait-il possible de n’avoir rien vécu de désagréable ? Impossible ! Alors je poursuivis mes réflexions jusqu’à tirer de ce mystérieux comportement une théorie quand même assez plausible, que je crois avoir utilisée tout au long de l’année. J’ai accueilli. Intuitivement et simplement. J’ai accueilli tout ce que j’avais à accueillir, dans le respect de la raison de ce dépôt dans ma vie. En accueillant ce qui est, on découvre. Chaque moment à une raison d’être, il faut développer le réflexe de le vivre comme cela, chaque fois que l’on vit quelque chose de moins agréable. Alors voilà que sur ma liste de coups de masse, apparurent des éléments. Cependant, je préfère appeler ces items ; coups de croissance. Parce que je ne me rappelle pas les émotions négatives qu’elles ont créées en moi, je me rappelle plutôt ce que ces moments m’ont fait devenir, combien ils m’ont fait grandir. Je pense que nous avons tous la capacité de transformer tout ce qui se passe en aventures positives, en expériences de croissance perso. Je m’amuse à y croire, mais suite à cette discussion auquel je ne me sentais pas assez outillée pour participer, je réalise que je fais bien plus qu’y croire, je le vis profondément tous les jours! À défaut d’avoir des coups de masse, moi, j’ai des coups de croissance ET la gratitude en ma capacité d’accueillir, tout simplement ! Isabelle Nantel Hier, j'ai vu passer cette phrase sur mon Facebook et elle m'a vraiment touché:
"La planète n'a pas besoin de plus de gens qui réussissent. Mais elle a désespérément besoin de plus de pacificateurs, de guérisseurs, de restaurateurs, de conteurs et d'amants de toutes sortes. Il a besoin de gens qui vivent bien à leur place. Il faut des gens de courage moral prêts à se joindre à la lutte pour rendre le monde habitable et humain. Et ces qualités ont peu à voir avec le succès tel que nous l'avons défini. " - David W. Orr (traduction libre) Et je me suis dit: c'est tellement ça, c'est exactement ça dont nous avons besoin. Nous avons besoin de gens qui désirent vivre en paix, en harmonie, qui seront créatifs et qui apporteront amour dans ce monde. Cette réussite là, me parle tellement. Chaque jour, c'est ce que je veux apporter au monde: un peu plus de beau et de bon. Je veux être une pacificatrice, une restauratrice, une conteuse, une amante de la vie, des autres, de la beauté. Je veux que mon passage sur terre en soit un de paix et d'Amour et qu'il apporte du bonheur aux gens. Je veux être un exemple pour mes enfants, non pas de succès tel que défini par certaines personnes, mais de réussite tel que mon coeur et mon âme le voit. Hélène Boissonneault Je ne suis pas fan de résolution de début d'année, elles ne tiennent que rarement la route et à la fin de l'année, on ne peut que constater que nous n'avons pas tenu plus qu'un mois... ou deux !
Mais si on décidait cette année de s'Aimer ! Si on prenait l'engagement de s'offrir plus d'Amour à soi, de prendre soin de soi, d'être plus indulgent envers soi, plus doux et compréhensif aussi, plus heureux, plus enthousiaste, plus joyeux, plus dynamique face à nos réussite... Et si on prenait l'engagement d'offrir tout ça aussi aux autres... de les Aimer plus, de se réjouir plus pour eux, d'être empathique, d'être sympathique... Il me semble que si on prenait cet engagement face à nous et aux autres feraient une grande différence positive dans le monde et permettrait à cette nouvelle année d'être merveilleuse. Hélène Boissonneault Mon mot de 2017 fut : Confiance ! Mon mot de 2016 fut : Sérénité ! Mon mot de 2015 fut : Authenticité ! Mon mot de 2014 fut : Plaisir ! Mon mot de 2013 fut : Prospère ! J'aime le mouvement, la fluidité, la douceur et la flexibilité. J'ai beaucoup de difficulté avec la rigidité. Autant la mienne que celle des autres, c'est pourquoi j'ai décidé qu'en 2018 mon mot sera flexibilité.
Être flexible dans mes exigences envers moi et les autres, dans mon horaire, mes besoins et désirs et dans mes croyances. Être flexible tant physiquement que psychologiquement. Accepter les changements, les imprévues et les inattendus de la vie. Éviter la rigidité. Hélène Boissonneault (Première partie)
Récemment, la ville de Brossard a décidé d’interdire la nudité dans les vestiaires de ses piscines publiques. Les gens devront se changer dans des cabines fermées. Cette décision a été prise à la suite de plaintes de citoyens. Celles-ci faisaient état d’un malaise face à la nudité. Des mesures ont été mises en place et ce cas a soulevé la question : serait-ce le retour à la pudeur ? À l’heure de la marchandisation excessive des corps, où la nudité se retrouve partout, en tout temps, la question mérite réflexion. Sincèrement, je ne crois pas à un retour de la pudeur, bien au contraire. Les corps s’affichent, se « selfisent », s’exhibent, s’achètent, se vendent… Je crois plutôt que la mesure prise par la ville de Brossard d’interdire la nudité dans les vestiaires nous montre à quel point le corps, sous toutes ses coutures, fait peur ; qu’il est relégué à une question de fonctionnalité ! Il nous emmène où on veut, il fonctionne sans qu’on se pose trop de questions. On le pousse à l’extrême sous la pression, le stress et la quête de perfection… Contenant une sorte de sauvagerie indomptable que l’on ne veut surtout pas aborder. Au-delà du véhicule J’ai longtemps été moi aussi dans la non-écoute de mon corps, voire même en guerre : son poids, sa densité, ses imperfections, ses ratés. Je l’ai souvent malmené, poussé à l’épuisement pour cette quête de performance, de perfection autant personnelle que professionnelle. Le grand paradoxe : je m’en occupais chaque jour en faisant du sport, mais sans jamais le considérer d’un point de vue de mon équilibre de vie. Il avait la place du quasi clandestin : je le tolérais sur le territoire, mais je ne lui accordais pas de droits de parole. Le terreau fertile du corps Ma vision du corps a radicalement changé depuis plusieurs années. Un burnout, des intolérances alimentaires, m’ont amenée sur cette voie de l’ouverture à une dimension plus vaste, holistique, pour une vie réjouissante. Puisqu’il ne voulait plus ni fonctionner ni avancer, je me suis mise à l’écouter. Le corps n’est pas un stupide véhicule dont « il faut » assurer la maintenance. Il est le terreau fertile d’une grande intelligence, d’une ultra finesse pour nous guider exactement où nous devons être dans nos vies. Il contient, renferme tous les possibles, nos forces, nos ressources, notre passé, notre présent, notre futur. L’être tridimensionnel Nous évoluons dans des sociétés fondamentalement axées sur le savoir, sur l’intelligence du cerveau. On mesure notre QI, on rationalise par la pensée chaque décision, on Cogito Ergo Sum, je pense donc je suis. Nous avons oublié la tridimensionnalité de notre être : un corps — un esprit — une âme. Se couper du corps, de ses ressentis, de sa vérité, nous coupe d’une partie de nous-mêmes, de l’être dans sa globalité. J’entends souvent dire que l’important est à l’intérieur, que la beauté vient de l’intérieur et que c’est ce qui est le plus important. Voilà un discours qui catégorise et évalue que ce qui viendrait de l’intérieur serait forcément supérieur au corps. Ce discours enferme et nous place sur l’axe de la dualité… bon/mauvais, positif/négatif, vrai/faux… Et sincèrement, je trouve ce discours « over spiritualisé ». L’âme serait-elle meilleure que la matière ? Serait-elle plus noble que le corps ? Les deux pieds sur terre L’âme et l’esprit s’incarnent dans la matière vivante du corps, du muscle et de la cellule. Sinon, où seraient-ils ? Comment vivraient-ils au quotidien s’ils n’étaient contenus dans le corps ? Nous avons bel et bien les deux pieds sur terre et la tête dans les nuages. Le corps est ce trait d’union mouvant entre la terre et le ciel. Vers un développement durable Prendre en compte cette dimension tridimensionnelle de l’être permet de nous placer dans une vision de développement durable de notre humanité et d’envisager l’équilibre plein dans nos vies. Chaque élément du vivant est important et chaque partie agit sur le tout continuellement pour former un ensemble cohérent, plein, épanouissant. Écouter, entendre les signaux faibles du corps, ses originalités, ses élans, ses soubresauts, ses retraits, ses soupirs, ses souffles, ses détentes, ses crispations nous met sur la voie de l’intelligence sensitive pour une expansion joyeuse de la vie. Co-créer avec son corps… quelques idées pour développer son intelligence sensitive Danser : sur différents rythmes (lents, rapides, saccadés…), avec des mouvements amples ou petits, avec de la musique, sans musique Marcher pieds nus Donner toute son attention à chaque geste et sensation : lorsque vous mangez, coupez des légumes, buvez une tasse de café, prenez une douche… Reposer le corps : le laisser tranquille dans une détente totale S’automasser ou se faire masser : ressentir les effets des mains sur le corps Jouer avec des matières : pâte à modeler, terre, argile, sable Lui donner du plaisir : pratiquer le slow sex Et tant d’autres choses à expérimenter ! Bonne pratique xx Corrine Jeanguillaume www.monbusinessemoi.com Félicitations, mes chanceux, vous avez (encore) une invitation pour le réveillon chez tante Anita.
Comme chaque année depuis plus de 20 ans, elle prépare les plats conventionnels du temps des fêtes… le ragout dans les boulettes, la tarte à viande – genre tourtière, la purée de « pétate » blanche, la belle grosse dinde farcie au porc et champignons, pis d’la tarte au sucre au dessert avec de la crème glacée à vanille… Ça va être super bon. On ne peut pas se tromper c’est bon, comme ça à chaque année. Et comme chaque année vous n’avez pas très envie de partager le plat collé des atacas, avec votre famille ou vos amis ou avec eux ou les autres... Vous anticipez le pire… Vous ne comprenez pas pourquoi, encore cette année, vous ressentez une sorte de serrement dans vos entrailles qui vous plonge dans un dégout total pour le papier d’emballage et encore plus pour l’odeur de sapin du Scotch. NE VOUS EN FAITES PAS… Ce sont les « blues de la Nowell » ! Comme c’est une fête difficile à zapper du calendrier, il nous faut trouver des façons positives de faire avec. Nous savons tous que nous avons la pression du cadeau à tout prix et qu’il est incontournable de ne pas venir à la fête avec un ti-cadeau pour tante Anita. Alors comment pouvons-nous vivre et survivre à cette fête voire même à cette période de l’année ? Soyez créatifs ! Comme je vous disais l’an passé, inutile de rester seul. Essayer une liste d’activités à faire comme voir des séries télévisées, si cela vous intéresse, vous pouvez aussi partir faire une balade, aller au cinéma, faire du bénévolat… surtout écouter ce dont vous avez envie. Faites de cette période un moment précieux pour passer du temps de qualité avec vous-mêmes ou avec vos proches. Entre les « partys » et vos rencontres sociales, créer le « MOI À MOI TIME » ! Préparer l’ambiance, la musique, le repas, les gâteries de Moi-à-Moi, votre décor (chandelles odorantes ; utilisez votre gradateur-éclairage doux, objets confos ; doudou, bas de laine…) Juste le fait de prendre soin de nous avec calme et simplicité rayonnera partout autour nous et cela vous préparera à faire face aux exigences du temps des fêtes. Et vous le savez maintenant, cette énergie se propage à une vitesse folle comme un faisceau de laser. Holà les pains de sucre, c’est contagieux tout ça ; ouvrez les bras, vous aurez un câlin… sourirez et vous rendra un énorme sourire, en retour… chantez et on vous accompagnera… dansez et l’on bougera avec vous… Allez-y doucement… mais longtemps et souvent. Full amour pour vous et pour eux ! Joyeuses fêtes ! Votre coach Gi. Gi Larose Master Coach certifiée 514-781-2822 https://www.facebook.com/ginette.larose.37 https://www.linkedin.com/in/ginette-larose-5b19ba1/?locale=fr_FR www.imagineinspiration.ca Mots clés : Noël —Les blues de Noël — Nowell — temps des fêtes |