La méditation bouddhique
La méditation bouddhique qui est centrale au bouddhisme, diffère complètement de la méditation occidentale. Le but ultime de la méditation Bouddhique est d'atteindre le nirvāna (État de sérénité suprême, Entraine, la fin des cycles de réincarnations). Ce type de méditation à une pratique posturale, mentale, relaxante et ce très rigoureuse. Certaines des techniques méditatives de Bouddha ont été partagées avec d'autres traditions et l'Inde des yogas proposait plusieurs voies qui influencèrent les techniques bouddhiques.*
Pour méditer, il faut avoir une attitude libre et ouverte. La détente maximale et volonté sont les deux éléments nécessaire à la méditation. La pratique de la Méditation bouddhique a pour but d'aider les êtres, pour cela il faut réaliser l'emprise de l'ego qui freine et empêche de développer la véritable compassion.*
Dans la méditation bouddhique, la pratique de shiné consiste à ne plus exercer de pression sur les pensées et les émotions et à les laisser aller et venir et ce tout simplement en s'assoyant et en étant attentif à notre respiration. Tandis que la pratique de tonglen consiste quant à lui à prendre la souffrance des autres vivants et de leur renvoyer à la place du bonheur. Lors de la pratique du tonglen on s'imagine la souffrance des autres sous forme symbolique de fumée et on l'inspire en se disant que celle-ci disparaitra au centre de l'être. Lors de l'expiration on renvoit une lumière merveilleuse représentant ce qu'il y a de mieux pour chacun.
La plupart des écoles traditionnelles bouddhistes reconnaissent que la voie d'accès à l’illumination nécessite trois types de pratique : la vertu (sīla), la méditation (citta) et la sagesse (prajna). Ainsi, la seule prouesse méditative n'est pas suffisante ; elle n'est qu’une partie de la voie d'accès.*
En méditation bouddhique la posture priorisée est la posture assise. Certaines traditions bouddhiques ont un respect très strict de la posture alors que pour d'autres traditions, l'important est plutôt que la posture choisie permette une relaxation dynamique, et qu'elle soit sans tension ni stress. La posture privilégiée est souvent la position du lotus (tel que montré dans la vidéo ci-bas) mais une chaise peut être utilisée.
Dans la méditation bouddhique, la pratique de shiné consiste à ne plus exercer de pression sur les pensées et les émotions et à les laisser aller et venir et ce tout simplement en s'assoyant et en étant attentif à notre respiration. Tandis que la pratique de tonglen consiste quant à lui à prendre la souffrance des autres vivants et de leur renvoyer à la place du bonheur. Lors de la pratique du tonglen on s'imagine la souffrance des autres sous forme symbolique de fumée et on l'inspire en se disant que celle-ci disparaitra au centre de l'être. Lors de l'expiration on renvoit une lumière merveilleuse représentant ce qu'il y a de mieux pour chacun.
La plupart des écoles traditionnelles bouddhistes reconnaissent que la voie d'accès à l’illumination nécessite trois types de pratique : la vertu (sīla), la méditation (citta) et la sagesse (prajna). Ainsi, la seule prouesse méditative n'est pas suffisante ; elle n'est qu’une partie de la voie d'accès.*
En méditation bouddhique la posture priorisée est la posture assise. Certaines traditions bouddhiques ont un respect très strict de la posture alors que pour d'autres traditions, l'important est plutôt que la posture choisie permette une relaxation dynamique, et qu'elle soit sans tension ni stress. La posture privilégiée est souvent la position du lotus (tel que montré dans la vidéo ci-bas) mais une chaise peut être utilisée.
|
Voici une vidéo explicative sur la méditation. Elle est vraiment intéressante et on s'habitue au look du monsieur !
|
Source : *http://fr.wikipedia.org/
http://www.linternaute.com
http://www.linternaute.com