Le droit de rêver nous appartient. Il nous amène à voyager en nous. Le rêve nous anime, nous donne de l’énergie, nous rend vivant. Il nous fait découvrir et ressentir que tout est possible. Les feux d’artifices s’activent et le rêve prend forme dans les petites actions. Nous saisissons ces moments magiques qui prennent réellement vie en nous. Qu’il fait bon de rêver! Dans les faits, qu’en est-il de la réalité? Est-ce que je côtoie mes rêves dans mon quotidien? Est-ce que je mets du temps et de l’énergie pour qu’ils se réalisent vraiment? Nous avons tous ce privilège « de se donner le droit de rêver et d’y CROIRE. » Les rêves sont là pour être caressés, chéris et matérialisés. Un rêve c’est précieux. Comme le petit oisillon dans sa coquille, pour naître, doit être protégé par sa maman. Votre rêve est votre bébé, vous devez le chérir et le partager au bon moment avec les personnes qui sauront vous encourager à le concrétiser. C’est alors que vous pourrez comme le petit oiseau, agiter vos ailes et vous envoler. Vivre ses rêves demande des actions. À tort, nous croyons qu’un bon matin, le rêve deviendra réalité sans faire de changements. Il est important de faire des pas dans la direction qui vous rapproche de votre rêve. Se donner le droit de concrétiser ses rêves demande également de vous connecter à vos ressources intérieures telles l’intuition, la persévérance… Ne laissez pas les croyances des autres étouffer vos rêves. En théorie, il est facile de parler de nos rêves, par contre pour certaines personnes, il est possible qu’un accompagnement soit utile pour s’enraciner dans l’action. Permettez-vous de vivre la magie de rêver. « N’attendez pas de vous réveiller un matin en entendant le bruit d’une autre personne accomplissant votre rêve. » Inconnu
Depuis trop de jours, je toussais ma vie, en plus de faire de la fièvre et d'avoir de plus en plus d'irritation à la gorge. Mon amoureux et mes amis voulaient que j'aille consulter... le problème c'est que je déteste aller à la clinique. Je déteste allée m’asseoir durant plusieurs heures pour me faire dire au finale de boire beaucoup d'eau et de me reposer... Ayant fait de la fièvre pour une 4ième nuit de suite et étant propice aux infections à streptocoque, je me suis résignée à me rendre à la clinique fortement recommandé par mon amoureux. N'étant pas dans ma ville, je ne pouvais pas vraiment aller a ma suer clinique habituelle. Tout d'abord, le sourire de la réceptionniste et son ton chaleureux m'ont tout de suite convaincue que j'avais fait le bon choix et le maximum 2 heures d'attente m'ont encore plus convaincue que j'étais à la bonne place. Mais ce qui m'a le plus convaincue que j'avais pris la bonne décision d'aller consulter un médecin en ce samedi après-midi fut la rencontre que j'ai fait lors de l'attente. « Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous ». Paul Eluard Qu'il avait raison ce M. Eluard Dans la salle d'attente plusieurs personnes assissent qui attendent leur tour, le moment où leur nom sera mentionné et que enfin un médecin pourra les voir. Il y a des personnes âgées et des personnes moins âgées et ce couple avec leur petit bébé. Sans même me poser de question, je vais directement m’asseoir devant eux, il y a des chaises de libre, la dame porte un masque tout comme moi ET il y a un bébé... Voilà, j'ai ma place. Je ne me souviens plus trop comment mais nous nous sommes mis à discuter tous les quatre (mon amoureux était avec moi), nous avons discuté de plein de choses mais pas de banalités, de la vie, de leur vie, de notre vie... des enfants. J'ai passé une partie du temps avec leur bébé dans mes bras, je l'ai endormi doucement pendant que les parents pouvaient manger un peu, ensemble. Le temps a passé rapidement, le temps a filé. J'ai connu deux personnes, un peu de leur vie, un peu de leur passé, un peu de leur présent mais beaucoup sur la bonté de la vie, sur le pouvoir de l'ouverture à l'autre. Nous nous parlions comme si nous étions tranquillement assis dans un café... Le décor était tout autre mais un décor c'est secondaire. La dame a été appelé et moi quelques minutes plus tard, j'avais mon appel aussi. Nous nous sommes dit au revoir, souhaité la santé et que tout se passe bien pour eux. J'avais l'impression d'un rendez-vous qui se terminait, une rencontre qui avait eu lieu. Un instant de bonheur pur et simple. J'avasi l'impression de quitter ce lieu le cœur plus léger et plus rempli à la fois. Attendre durant ces 2 heures que le temps passe, que mon nom soit nommé, que le médecin soit prêt a me rencontrer aurait pu être long mais non, le temps fut court, vraiment court et d'une qualité incroyable. Il y a des rendez-vous qui ne sont pas à l'agenda mais qui apportent tout autant sinon plus que ces rendez-vous planifiés... Mardi dernier était une journée comme les autres, du moins, pas mal similaires aux autres mardis que j'ai depuis quelques années. Je me suis levée, comme je me lève pas mal tous les mardis matins... J'ai fait ma journée comme pas mal tous les autres mardis mais mardi soir, ça a commencé à être différent... J'ai commencé à ne pas trop bien me sentir. Je venais d'attraper un virus et il n'était pas prêt à quitter mon corps... N'écoutant que mon courage, j'ai décidé de combattre ce virus... Alors fièvre, toux, repos et bien plus ont été déployé afin de gagner le combat. 24 heures plus tard, la virus menait encore le combat... et moi j'en avais déjà marre... Hey chose (c'est ce que je lui ai dit) j'ai une vie à continuer moi, des enfants à m'occuper, un travail à faire pis j'ai un 5a8 faque sort de ce corps... J'avoue, il a beaucoup rit quand j'ai parlé du 5a8... il s'est foutu pas mal de ma gueule... Comme je voyais qu'il ne semblait pas vouloir écouter, j'ai sorti l'artillerie lourde : Bucley (my god que ça goûte mauvais), Tylenol, pastilles, repos, eau, etc. On va l'avoir... Ben non, le fucking virus est resté là à me narguer encore... Hey chose (C'est ce qu'il m'a dit) écoute moi bien, j'ai décidé de prendre possession de ton corps et de m'y faire un petit nid un certains temps. Question que tu comprennes que c'est pas vraiment toi qui décide, je vais monter un peu la température et augmenter la dose de toux... Il me faisait suer royalement (et littéralement)... Non mais pense-t-il vraiment que je vais mettre ma vie à pause un moment et lui permettre de gagner aussi facilement ? Il ne me connait pas bien lui... Je ne suis pas le genre de fille à m'arrêter pour un virus... Ils n'ont pas inventé la médication pour rien après tout ! Lets go, Tylenol et autres trucs on permet à ce corps là de fonctionner et à ce cerveau là de faire la job qu'il doit faire... Et vendredi est arrivé... Vendredi, le virus a cogné fort. Vendredi il m'a presque mi K.O. Vendredi, aidé très fortement de mon amoureux et de mes amis, j'ai décidé de cesser de me battre contre le virus un moment. J'ai décidé de me reposer tout simplement et de me soigner plutôt que de combattre... Pis je me suis sentie comme de la bouette, de la grosse bouette brune inutile. De la bouette sale pis pas le fun. Ce feeling là a duré jusqu'à dimanche. J'ai réalisé alors combien je trouvais difficile de me sentir inutile, combien lorsque je dois me reposer, que je dois prendre du temps et ne rien faire c'est lourd pour moi ! J'ai réalisé combien prendre soin de moi n'était pas naturel encore. J'ai réalisé combien malgré que je mange relativement bien, je m’entraîne et que je crois prendre soin de moi, je ne le fais pas. J'ai alors réalisé que j'allais continué à accepter que je feelerais comme de la bouette quelques jours. C'est mon état actuel et pour me soigner, je dois prendre soin de moi, je dois prendre soin de mon corps et non le combattre. Pour me soigner, je dois me reposer, me nourrir sainement et m"hydrater. Pour me soigner et ne plus me sentir comme de la bouette, je dois apprendre à ne rien faire tout simplement et accepter les choses telles quelles sont. En partant de là, je pourrai mieux agir par la suite. Alors voilà, une semaine plus tard, la fièvre a quitté mon corps, la toux est encore présente et l'énergie n'est pas revenue à 100%. Voilà mon état actuel. Je vais mieux et j'ai compris bien des choses... J'avais prévu vous proposer une version différente d'un grand classique. Mais, parfois, on se doit d'être fidèle à un classique. Je pensais expérimenter et vous arriver avec une crème brûlée à la citrouille. Après tout, l'Halloween étant derrière nous, elle vous a probablement laisser des citrouilles et vous ne savez peut-être pas trop quoi en faire. Si c'est le cas, faites ma recette de muffins, en double, en triple. Et congelez-en, vous me remercirez plus tard! Alors, revenons à nos chaudrons. En fait, non. Parce que mon classique, sera cette fois... cru! Ok, je vous l'ai dit, un classique, c'est un classique. Mais cette version saura satisfaire les exigences des plus difficiles en plus d'accomoder vos connaissances intolérantes aux produits laitiers et aux œufs ainsi que les végétaliens! De plus, avec un peu de planification, c'est un jeu d'enfant! (Et rappelez-vous, on ne fait rien cuire, alors raison de plus pour laisser votre marmaille s'en charger, elle ne courra pas le risque de se brûler.) L'étape la plus longue, en fait, après l'attente parce que vous êtes sans doute déjà impatients d'y goûter, est de faire tremper les noix. Vous vous demander pourquoi cette étape? Pour résumer le tout très brièvement, ça rendra la digestion plus facile des noix. (Je pourrai vous en reparler ultérieurement.) Mais si vous êtes trop pressé ou que vous avez oublié, c'est pas grave. Acheter les noix de cajou non-salées ni rôties par contre. Alors, voici le moment que vous attendiez, je vous révèle LA recette, toute simple et tellement décadante. La texture est oncueuse et crémeuse à souhait. (Vive les noix de cajou et l'huile de coco!) Pour le rendement, tout dépend de la grandeur des ramequins. Comme je suis gourmande et que je pourrais avoir de la diffculté à m'arrêter à un (quoi qu'ils sont à base de noix, donc pas mal rassasiants), j'ai décidé de m'en faire des petits, comme ça, si j'en prends 2, ça sera plus sage que si j'en prendrais 2 grands! ;) (Je sais que techniquement je pourrais m'en tenir à un, mais ça peut s'avérer un défi que je n'ai pas toujours le goût de relever!) Alors, ça fait environ 8 petits ramequins ou 4 grands. Vous aurez besoin de; 2 tasses de noix de cajou 2/3 de tasse d'huile de noix de coco fondue ½ tasse de sirop d'érable 1/3 de tasse de sucre de canne (plus quelques cuillières) 1 c. à soupe de jus de citron les grains d'une gousse de vanille pincée de sel 1.Alors, si vous êtes prévoyants, remplissez un bol d'eau et faites tremper les noix durant la nuit ou durant 4 heures minimum. 2.Mettre tous les ingrédienst au mélangeur jusqu'à ce que le mélange soit homogène. 3.Verser dans les ramequins et réfrigérer au moins une heure. 4.Saupoudrer de sucre de canne et faire caraméliser à l'aide d'une torche. (Si vous en avez pas ni dans votre cuisine, ni dans votre garage, mettez les ramequins sous le grill et surveillez.) 5.La dernière étape et non la moindre, s'assoeir et DÉGUSTER!:D Mélissa Couture
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