Ok. J’avoue. J’aborde un sujet assez loin de l’originalité!
J’explore le bonheur. Le bonheur... le vrai, le beau, le grand, celui qui fait qu’on EST plutôt que DEVOIR être. Je vous parle du bonheur puisque je l’ai vu passer, s’éloigner, revenir puis s’endormir dans mes bras. J’ai eu peur qu’il me laisse vagabonder ma vie, sans lui. J’ai cru, malgré tous mes sourires, qu’il allait en choisir une autre. Parce que, disons le, plusieurs autres humains que moi ont tout pour l’attirer, l’amadouer, le conquérir ce coquin. J’ai cru, de par les chemins complexes, accidentés et sinueux que je prenais, il allait se décourager. J’ai aussi cru que soudainement, il m’avait assez offert, que le temps était venu d’en gâter une autre. Parce que, moi ça, je me pensais le juge du mérite du bonheur. Ben quoi, je suis capable de me juger moi-même! En plus de croire, j’ai douté et même saboté son retour (lorsque même il n’était pas parti). Il est d’autant plus facile de repousser le dit bonheur que de s’avouer qu’on ne lui a pas beaucoup laissé de place dans sa vie... Ciao bonheur, tu repasseras! Et puis, malgré tout, je ressentais sa présence dans beaucoup de parties de mon corps. Étonnement en fait, puisque je n’avais pas l’impression de ressentir beaucoup ces derniers temps. Pourtant, je le ressentais pas trop loin lui... J’ai d’ailleurs essayé de comprendre ce ressenti, de trouver à quoi il ressemblait exactement. D’essayer d’y trouver une raison d’être, une excuse. Puis j’ai lâché prise et je me suis laissé vivre. Vivre les ressentis qui m’habitaient, sans trop vraiment chercher d’où tout ça provenait. Être sans trop y penser, me rappeler que le bonheur est plusieurs choses et une seule chose à la fois. Le bonheur, c’est dans la capacité de se visiter le nombril et d’accepter que ce sera là où je trouverai pas mal tout ce que j’ai besoin, là, dans mon ventre et mon cœur. Je porte pas mal d’affaires (non, je ne suis pas enceinte) et ces affaires-là forgent ma vie, mes jours, mes nuits. Le bonheur à une recette précise et imprécise, propre à chaque individu. Si nous sommes assez courageux pour visiter notre ventre et notre cœur, la recette de notre bonheur se transforme en un plat assez gastronomique et le plaisir d’y goûter est ahurissant. J’y goût, j’y goûte encore plus maintenant. Parce que je sais que la recette m’appartient, que je seule à le porter et que si j’en prends soin, il restera. Isabelle Nantel
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Vous savez, dans la vie, on fait tous face à des choix, même quand on pense qu’on n’en a pas. Et je crois que c’est important de le réaliser et de changer notre perspective par rapport à ça. Assumez vos choix, faites la part des choses, analysez ce que ça implique à court terme, mais aussi à long terme. Parfois, un petit désagrément vaut la peine d’être toléré pour accéder à un grand bonheur.
Un moment de douleur pour une vie de gloire. -Louis Zamperini Marie Rose rosedesign.ca La fin de semaine qui vient de se terminer en fut une de ressourcement intense. Ce fut un moment juste pour moi seule avec moi ! J'ai réalisé que ce ne m'était pas arrivé depuis au moins 2013 de passer 24 heures seule avec moi même sans enfant, sans conjoint, juste moi avec moi. J'ai savouré ce moment, j'en ai profité et apprécié chaque seconde.
J'ai fait ce que j'aime, ce qui me plait, ce qui me tentait sans pression, sans stress... Juste être. Il y a quelques années, la seule idée de passer du temps seule avec moi même m'aurait fait faire une crise de panique extrême mais plus maintenant, au contraire, j'étais dans la plus grande sérénité possible. Hier soir, lorsque mon fils est revenu j'étais reposée, ressourcée, heureuse et sereine. Tout allait plus lentement pour moi. J'ai ralenti mon rythme au courant de ces presque 48 heures à suivre mon rythme et mes envies. J'ai ralenti ma cadence et j'ai gardé ce rythme encore aujourd'hui. Tout allait plus lentement. Mon fils m'en a fait la remarque tellement il trouvait que je n'étais pas au même rythme qu'habituellement. Ce moment seul avec moi même est à refaire... et je n'attendrai pas 5 ans cette fois pour le faire ! Je me promets de le faire quelques fois par année. Être seule, vivre un moment de solitude, a plusieurs bienfaits dont se reconnecter à nos émotions, aller à son rythme, faire une belle et douce introspection, cela nous permet de recharger nos batteries, de faire ce qui nous plait réellement... et tellement plus encore. Hélène Boissonneault Hier, j'ai vu passer cette phrase sur mon Facebook et elle m'a vraiment touché:
"La planète n'a pas besoin de plus de gens qui réussissent. Mais elle a désespérément besoin de plus de pacificateurs, de guérisseurs, de restaurateurs, de conteurs et d'amants de toutes sortes. Il a besoin de gens qui vivent bien à leur place. Il faut des gens de courage moral prêts à se joindre à la lutte pour rendre le monde habitable et humain. Et ces qualités ont peu à voir avec le succès tel que nous l'avons défini. " - David W. Orr (traduction libre) Et je me suis dit: c'est tellement ça, c'est exactement ça dont nous avons besoin. Nous avons besoin de gens qui désirent vivre en paix, en harmonie, qui seront créatifs et qui apporteront amour dans ce monde. Cette réussite là, me parle tellement. Chaque jour, c'est ce que je veux apporter au monde: un peu plus de beau et de bon. Je veux être une pacificatrice, une restauratrice, une conteuse, une amante de la vie, des autres, de la beauté. Je veux que mon passage sur terre en soit un de paix et d'Amour et qu'il apporte du bonheur aux gens. Je veux être un exemple pour mes enfants, non pas de succès tel que défini par certaines personnes, mais de réussite tel que mon coeur et mon âme le voit. Hélène Boissonneault Je ne suis pas fan de résolution de début d'année, elles ne tiennent que rarement la route et à la fin de l'année, on ne peut que constater que nous n'avons pas tenu plus qu'un mois... ou deux !
Mais si on décidait cette année de s'Aimer ! Si on prenait l'engagement de s'offrir plus d'Amour à soi, de prendre soin de soi, d'être plus indulgent envers soi, plus doux et compréhensif aussi, plus heureux, plus enthousiaste, plus joyeux, plus dynamique face à nos réussite... Et si on prenait l'engagement d'offrir tout ça aussi aux autres... de les Aimer plus, de se réjouir plus pour eux, d'être empathique, d'être sympathique... Il me semble que si on prenait cet engagement face à nous et aux autres feraient une grande différence positive dans le monde et permettrait à cette nouvelle année d'être merveilleuse. Hélène Boissonneault Mon mot de 2017 fut : Confiance ! Mon mot de 2016 fut : Sérénité ! Mon mot de 2015 fut : Authenticité ! Mon mot de 2014 fut : Plaisir ! Mon mot de 2013 fut : Prospère ! J'aime le mouvement, la fluidité, la douceur et la flexibilité. J'ai beaucoup de difficulté avec la rigidité. Autant la mienne que celle des autres, c'est pourquoi j'ai décidé qu'en 2018 mon mot sera flexibilité.
Être flexible dans mes exigences envers moi et les autres, dans mon horaire, mes besoins et désirs et dans mes croyances. Être flexible tant physiquement que psychologiquement. Accepter les changements, les imprévues et les inattendus de la vie. Éviter la rigidité. Hélène Boissonneault Nous sommes heureux de vous présenter cette nouvelle section de notre site.
Au fil des jours, des semaines et des mois, de nouveaux textes qui parleront de zénitude, créativité, émotions, état-d'âme, lâcher-prise, amour de soi, confiance en soi, bonheur, cohérence, gratitude, kaizen, leadership, mieux-être, bien-être, positivité, prospérité, réussite, valeurs personnelles, etc. seront publiés. Nous vous souhaitons une bonne lecture et de belles découvertes. Hélène Boissonneault |