Il n'y a pas si longtemps, je trouvais que 40 ans c'était vieux. A 40 ans, je devais avoir tout fait et tout vu car à 40 ans je serais vieille...
Et puis, j'ai eu 39 ans. En fait, j'ai eu "Je vais avoir 40 ans". C'est très rare que je dis que j'ai 39 ans, comme si après 38 venait une année de transition, une année pour me préparer à 40 ans, comme si avoir 40 ans était une fatalité. Donc j'ai eu 38 ans et "je vais avoir 40 ans". C'est merveilleux car cette année de transition m'a vraiment servie à accepter que j'allais changé de décennie, que j'allais avoir ce fameux 40 ans. Cet âge que je redoutais tant. A priori, je serai plus en santé à mes 40 ans que lors de mes 30 ans. C'est fou ! ---Je dis à priori car on ne sait jamais. La vie est drôlement faite. Une journée tout va bien et puis tout à coup ça ne va plus. Vendredi soir, j'ai visionné le film Contre toute espérance, un film de 2007 mettant en vedette Guy Jodoin et Guylaine Tremblay. Ce film là, m'a rentré dedans pas pire. La vie d'un homme et de sa conjointe bascule après que l'homme ait un accident cérébro-vasculaire. Et aujourd'hui, j'apprends le décès soudain d'un chroniqueur politique et de plusieurs membres de sa famille. Et puis, je réalise encore plus combien tout peu basculer tout à coup--- Donc, à priori, je serai plus en santé à 40 ans qu'à mes 30 ans. Cette année de transition m'apporte une sérénité que je ne croyais pas possible face à mon âge. Mais voilà que je réalise que je n'ai pas tout vu, pas tout fait, pas réaliser tout mes rêves et je me surprends à me dire : je ne veux pas mourir. Je ne suis pas vieille, je suis encore toute jeune. J'ai des enfants merveilleux, un amoureux incroyable, une vie qui me donne tellement de belles choses à tous les jours. Je suis heureuse, 100% heureuse enfin. Pourquoi cette peur de la mort ? Les événements récents mentionnés ci haut en sont certainement pour quelques choses. Je veux savourer ma vie intensément comme je le fais si bien depuis longtemps. Je veux rire chaque jour, pleurer aussi car ça fait parti de la vie. Je veux réaliser mes rêves les uns après les autres et voir mes enfants en faire tout autant. Je veux vivre et mordre dans la vie à pleines dents et que cette passion que j'ai pour la vie soit contagieuse. Je veux vivre encore et encore. Je dis depuis longtemps que je veux vivre jusqu'à 130 ans et je le souhaite de tout coeur, Je veux vivre longtemps en santé et heureuse. Mais je ne sais pas ce que l'avenir me réserve. Alors voila, à l'aube de mes 40 ans, je veux apprécier chaque journée. Me trouver jeune (il parait qu'on a l'âge qu'on se donne) et belle et être en santé. Je veux apprécier de vieillir car vieillir veut dire être en vie. Je veux remercier le ciel, la vie, name it, chaque matin de vivre un nouvelle journée et chaque soir d'en avoir vécu une si belle. On ne choisit pas l'heure de sa mort mais on peut choisir d'être pleinement vivant chaque jour ! On peut choisir de savourer chaque seconde de sa vie et en apprécier chaque bouchée. Je me suis souvent dit ; je ne veux pas mourir avant d'avoir pleinement vécu. Je ne veux pas mourir avant d'avoir été pleinement en vie. Si je me fis à cela, je peux mourir demain car oui j'ai été pleinement en vie mais il me reste des choses à vivre pour dire que j'ai pleinement vécu. Et je n'attendrai pas à demain, à dans 15 ans ou à ma retraire pour le faire car on ne sait jamais ce que demain nous réserve. Je ne veux pas mourir car vivre est si bon que je veux pouvoir le faire longtemps et pleinement ! Je vais avoir 40 ans dans quelques mois... et c'est la plus belle chose qui peut m'arriver présentement. Hélène Boissonneault Vous en avez assez des matins pressés et de vous sentir maussade et essoufflé sans même avoir mis le pied hors du lit ?!
Eh bien, voici quelques méthodes de zen attitude qui vous permettront d’avoir un peu plus de bonheur au petit matin! Préparez certains trucs la veille, comme le sac des enfants, les lunchs et les vêtements. Je ne sais pas pour vous, mais chez nous, l’horloge est à vitesse grand V en matinée ;) Au réveil, nommez une intention pour la nouvelle journée! Voici une partie de mon répertoire: «Wow ! Une autre belle journée qui commence!» ou «Aujourd’hui, ce sera une journée empreinte de douceur…, de confiance, de petits bonheurs, d’harmonie, de paix...» Vous pouvez noter ces mots et les porter sur vous. Votre regard se portera ainsi davantage sur ce que vous souhaitez ressentir et vivre. Respirez et souriez! Inspirez et expirez par le nez et ce, en pensant : j’inspire, je m’éveille, j’expire, je me sens bien et détendu. Répétez l’exercice au moins 3 fois. Étirez-vous et souriez ! En sortant du lit, ou même en restant tranquillement allongé, étirez tout votre corps. Étirez vos bras, vos jambes; bougez les orteils, ouvrez et fermez les doigts. Un muscle qui retrouve sa longueur optimale s’oxygène davantage, et l’allongement vertébral relance l’énergie mise au repos pendant la nuit. Prenez un verre d’eau ! Prendre un bon grand verre d’eau au réveil permet d’éliminer des toxines et de bien redémarrer la machine. Faites un peu de yoga! Si vous êtes déjà un accro du yoga comme moi, et bien, créez votre propre routine, selon le temps que vous avez, et débutez votre journée par une dose de yoga bonheur! Réveillez-vous quelques minutes plus tôt et hop! Déroulez votre tapis. Vous gagnerez les minutes de sommeil perdues grâce à une bonne dose d’énergie yogique! Sinon, voici quelques mouvements et postures pour vous aider dans votre routine matinale de zen attitude :
Quelques respirations et mouvements très simples qui vous permettront d’entamer la journée sur une note positive. Dites-vous que l’énergie avec laquelle vous débuté vos journées a une grande influence sur le déroulement de celle-ci. Vous pourriez aussi courir, danser, chanter, méditer, etc. L’important est de vous prioriser et de prendre soin de vous, d’augmenter votre vitalité dès le lever. Se prioriser, prendre soin de soi, c’est se doter d’une vie meilleure, plus zen. Il est plus facile de donner, d’être bien et patient après s’être accordé un moment à soi. La façon dont vous nourrissez votre corps et vos pensées influence la dynamique de la journée. Alors, pourquoi ne pas choisir de partir la journée du bon pied sur une note douce et positive. Sur ce, respirez, souriez et passez une merveilleuse journée! Sonia Dupont Professeure de yoga 819-345-2551 https://www.facebook.com/educjeunes.soniadupont Le vrai bonheur coûte peu ; s’il est cher, il n’est pas d’une bonne espèce. -François-René de Chateaubriand Une amie partageait récemment une observation sur l'industrie du mieux-être, parce que oui il y a une industrie du mieux-être et elle est très florissante. Cette industrie fait souvent la promotion d'un mode de vie différent, unique, axé sur la liberté. Toutefois, cette promotion fait souvent référence à un style de vie uniforme, différent certes de ce qui a été trop longtemps véhiculé mais uniforme. Le bonheur "c'est" et ils ont la réponse à ce "c'est" dans l'uniformité. Elle fait référence aux images de plages, de jus verts et d'exercices qui pullules dans les publicités... Le bonheur ce n'est pas que ça et surtout ce n'est pas ça pour tout le monde. Je suis très en accord avec cette observation de mon amie. J'irais même plus loin en ajoutant que la promotion d'un mode de vie qui inclut un grand salaire, un Jaguar et un voyage a Walt Disney avec vos enfants pour être heureux est surfaite et surtout sent le réchauffé. Toute petites, j'ai vu mon père heureux dans son bois. Mon père s'illuminait dès qu'il attelait sa jument et qu'il pouvait s'engloutir dans la forêt afin d'aller couper son bois. On comprend qu'avec 12 enfants dans la maison, l'évasion dans la nature devait être salvatrice. Il s'était même construit un camp afin d'y passer le plus de temps possible. Vous auriez donné à mon père la possibilité de passer sa vie sur le bord d'une plage à siroter une bière et à manger tout ce dont il a envie, il l'aurait refusé. En fait, cette vie l'aurait tué, il aurait été malheureux comme ce n'est pas permis. Toute petite, j'ai vu ma mère rayonner dès qu'elle avait des petits enfants autour d'elle. Ma mère a choisi dans sa vie d'avoir des enfants, beaucoup d'enfants parce que pour elle, la vie c'était d'être entourée d'eux. La couture, le tricot, recevoir (elle aimait et aime encore recevoir), faire ses tourtières rendaient ma mère heureuse. Vous lui auriez donné la possibilité de boire des jus verts et faire du yoga dans son salon tranquille tous les jours de sa vie qu'elle aurait décliné l'invitation. La vie, le bonheur pour ma mère c'était d'être entourée, de faire plaisir, de prendre soin. Ma mère jubile de bonheur quand elle prend soin. Son bonheur à elle, c'est ça. Toute petite, je savais déjà qu'il était possible de vivre de sa passion. Je savais que ça venait avec plein de choses pas toujours faciles mais que c'était possible et que non ce n'était pas la même chose pour tout le monde. Vivre sur le bord d'une plage et y travailler c'est LOIN dans ma liste du bonheur ! La retraite ce n'est pas pour moi et le silence temps plein OH que non. Je suis bien sur le bord d'un cours d'eau dans le bois, j'adore y passer du temps mais je suis aussi très bien sur le Plateau à Montréal sur une terrasse. J'ai une amie qui ne pourrait vivre sans son travail qui lui demande de faire du 8 à 8 des fois. Pour elle, le bonheur c'est ça. Sans ça, elle en devient vite éteinte. Elle adore son travail même si plusieurs y laisseraient leur peau, elle c'est là qu'elle brille. Je connais un homme qui pourrait vivre en Californie, près d'une plage à faire un salaire plus que très intéressant. Pour lui, si cela inclut d'être séparé des gens qu'il aime, c'est un NON sans hésité. Même s'il avait tout ce que l'industrie du mieux-être veut nous vendre, il sait qu'il ne serait pas heureux... Après une grande et longue dépression, j'ai appris que pour avoir un équilibre, j'avais besoin de ma vie d'éducatrice et de ma vie de blogueuse. J'avais besoin d'être chez moi dans mes affaires mais aussi d'avoir du social et des rencontres d'affaires. J'aime les 2 autant, j'en ai besoin, c'est viscéral. De grâce ne m'envoyer pas sur une île à boire des jus verts et à faire du volley-ball de plage, j'en serais trop malheureuse. Pour certains, le mieux-être se vit en voyageant, en découvrant le monde. Pour d'autres, c'est d'être dans le bois profond à peindre des toiles. Pour d'autres, c'est tout simplement la ville, les bruits, le chaos. Pour certains, c'est d'être entouré des gens qu'ils aiment. Il n'y a pas qu'une image possible du mieux-être, il y en a autant qu'il y a d'humains sur la terre. Ce n'est pas vrai qu'une plage, que des smoothies IN et un corps svelte et musclé c'est le bonheur universel. Car comme le dit si bien Sénèque : La vie heureuse, c'est donc celle qui est en accord avec sa propre nature. La méditation, une bonne alimentation, le yoga, le sport, etc. contribuent au mieux-être mais ils n'en sont pas garant. Hélène B. Tu es chanceuse, toi, tu n'es jamais stressée». Ah oui? Eh bien, même si je me considère comme une personne calme, je ne suis pas d'accord avec cette affirmation. Pourquoi? 1. Parce que je serais probablement morte à l'heure actuelle. 2. Parce que les apparences sont souvent trompeuses. 3. Parce que vous voyez mon poing? Là se cache mon secret! 1. Le stress d'un point de vue physiologique Considéré comme une grosse bête noire, le stress est pourtant essentiel à la vie. En effet, puisqu'il agit comme un système d'alarme qui prévient notre organisme en cas de danger. Ainsi, grâce au système nerveux sympathique qui déclenche la production des hormones du stress (adrénaline et cortisol), on peut s'activer et se préparer au combat ou à la fuite si nous devons agir rapidement. C'est pourquoi le rythme cardiaque s'accélère, la pression artérielle augmente, la respiration s'accentue, les muscles se tendent, etc. Par la suite, le système nerveux parasympathique entre en jeu pour réguler le tout et empêcher le système sympathique de s’emballer en rétablissant le corps à son état normal. Alors, le rythme cardiaque ralentit, la pression artérielle diminue, la respiration ralentit, les muscles se détendent, etc. Donc, puisque notre système d’alarme corporel peut nous sauver la vie, il n'est pas question de l'enrayer de notre quotidien. Par contre, il faut savoir que notre cerveau ne distingue pas une menace réelle d'une menace qui provient de notre interprétation... Dans ce cas, notre corps ne sait pas où donner de la tête (!) et déclenche la réaction automatique au stress. Plusieurs fois par jour. Trop souvent. Trop intensément. Trop longtemps. Et survient la détresse. 2. Le stress, vu comme un mammouth Au temps des mammouths, les humains étaient des petites bêtes poilues qui essayaient de survivre. On peut facilement comprendre l'importance d'avoir un bon système d'alarme interne quand on risque de se retrouver devant un mammouth, n'est-ce pas? Cependant, de nos jours, les mammouths n'existent plus et il est plutôt rare que les humains soient confrontés à des dangers réels et constants. Alors, comment se fait-il que le stress soit si présent dans nos vies? C'est parce que, selon notre manière de percevoir et d'interpréter les différents événements qui se présentent à nous, notre corps va déclencher une réaction normale ou une réaction excessive en réponse au stress. Ainsi, il y a plusieurs situations qui peuvent se transformer en mammouths dans notre quotidien. À titre d'exemples: annonce d'une maladie, perte d'emploi, séparation, départ d'un enfant, problèmes financiers, être en retard à un rendez-vous, jugement des autres, etc. Bref, il n'y a personne qui va interpréter une situation de la même façon car le stress est un phénomène individuel et personnel. Ce, même si on reconnaît des caractéristiques, dites universelles, qui provoquent systématiquement une réponse au stress sur chacun de nous. Soit la diminution ou la perte de Contrôle, l'Imprévisibilité, la Nouveauté et/ou la menace de l'Égo. Pour s'en rappeler et porter attention à ce qui nous stresse, il suffit de retenir l'acronyme CINÉ et de prendre conscience des nombreux scénarios qui sont «à l'affiche» dans nos têtes... Ce qui devrait nous donner de bonnes pistes pour chasser le mammouth! 3. Le stress, vu par mon poing! N'ayez pas peur, je ne vais pas vous frapper. Je veux simplement vous partager un truc qui m'aide à ne pas être trop stressée. Puisque je gesticule beaucoup quand je me parle (oui, oui, je me parle!), j'ai remarqué que mon poing est très présent quand il s'agit de passer à l'action. Comme un réflexe, ma main se contracte et mon poing apparaît. Prête à l'attaque! En réalité, mon poing agit surtout comme un aide-mémoire afin que je m'arrête et me questionne: suis-je vraiment devant un mammouth en ce moment? Généralement, la réponse est non. D'ailleurs, si je suis en mesure de réfléchir, il est fort probable que je ne sois pas en situation de danger réel dans l'instant présent. Par contre, la situation devant laquelle je suis confrontée est bien réelle (ou presque, même si elle n'existe que dans ma tête) et je dois tout de même faire quelque chose pour éviter que mon système d'alarme corporel se déclenche inutilement. Ce que je fais? Je ne le savais pas avant d'analyser mon cas de «personne supposément jamais stressée». Mais après quelques jours d'auto-observation, j'ai vite découvert mon secret: je prends mon STRESS en main! Comment? D'abord par un Sourire (même si ça ne me tente pas, même s'il est faux, même si c'est difficile, le sourire envoi un signal de bonne humeur au cerveau). Ensuite, vient un Toucher (pour ma part, je porte souvent la main à mon cœur, comme pour rétablir le contact avec moi-même ou pour me rassurer). Suivi d'une Respiration abdominale (le ventre se gonfle naturellement quand on inspire) et d'une Expiration (à respirer trop souvent au niveau de la poitrine, on oublie que la respiration se fait en deux temps: inspirer - expirer). En dernier lieu, je prends le temps de Supprimer ce qui n'est pas sain pour moi (scénarios de catastrophe, frustrations, pensées inutiles, etc.) et ce, sans toutefois oublier de Sauvegarder ce qui est pertinent et fait du sens pour moi dans la situation. Et je recommence... Plusieurs fois par jour... Est-ce que c'est bénéfique? Oui Est-ce que c'est magique? Non Allez-vous l'expérimenter? Peut-être... En terminant, voici mon dernier conseil, et non le moindre, pour vivre avec le STRESS au quotidien: il faut se connaître! Si je sais ce qui me stresse, je peux agir et retrouver un peu de contrôle. Si je sais ce qui me fait du bien, je peux agir et retrouver un peu de calme. Si je sais être moi-même, je peux agir sans avoir peur du regard des autres... Vous comprenez le principe?
Maintenant, il est temps de faire face à nos mammouths contemporains. Prêts, pas prêts, ils arrivent! Véronique Bouchard www.mieuxetreactive.com - 819.573.0409 facebook.com/Bouchard.Veronique.Psychoeducatrice.Auteure Pour suivre mon blogue: www.monpsycafe.blogspot.ca Mes titres: Un livre en plus pour une livre en moins ça fait le poids (2012) Free for All - Confusion, illusion ou liberté (2014) Je suis certaine que vous avez déjà entendu cette phrase là : C'est facile pour toi de dire ça... Vous l'avez probablement même déjà dite vous même, ou au moins pensé. En tout cas, moi oui ! Il y a plusieurs fin à cette phrase : C'est facile pour toi de dire ça,
C'est vrai que pour certains, ça semble plus facile que pour d'autres de faire un choix, un geste, un changement. J'ai appris un jour, que souvent, même majoritairement pour que quelque chose devienne facile il faut pratiquer souvent, longtemps, se péter la margoulette, tomber et se relever. Il y a des enfants qui semblent avoir ça plus facile l'apprentissage de la marche mais ce n'est pas parce que ça l'air plus facile que ce l'est mais surtout ce n'est pas parce que ça a l'air plus facile qu'ils n'ont pas vécu tout le processus de tomber, se relever, garder l'équilibre... Dans la vie, on peut toujours se trouver des raisons, des excuses, des comparaisons boiteuses pour se démotiver, se convaincre qu'on a raison de ne pas le faire. On peut toujours se comparer et se dire que pour l'autre c'est facile de dire ça ou de faire ça. Toutefois, quand on dit ça, on oublie le chemin parcouru par cette personne. On oublie de regarder de où elle part cette personne. Parfois, elle part de moins loin mais parfois, elle part de pas mal plus loin. Le web ça a l'air vraiment facile pour moi mais détrompez vous, je suis partie de la base, de rien, d'aucune connaissance et j'ai appris, j'ai passé des soirées, des nuits, des jours à cherche LE bug, à essayer de comprendre le codage, etc. Et oui après ces 9 ans dans le Web, ça à l'air facile. Et puis par chance qu'avec le temps, la pratique, les essais et les erreurs ça devient plus facile. Je pourrais vous en donner plusieurs exemples du genre, plusieurs exemples où ça a dont l'air facile pour moi de dire ou de faire quelque chose. C'est facile parce que un jour j'ai cessé de me donner des excuses et je me suis donner des raisons et j'ai pris les moyens pour atteindre mes objectifs. Alors quand ça à l'air facile pour une personne, quand j'ai le goût de me cacher derrière l'excuse ''oui mais toi'', je me demande le chemin parcouru par cette personne. Je m'en inspire, je ne fais pas nécessaire pareil mais je sais que c'est possible. Peut-être avec plus de difficulté, plus d'apprentissage, plus d'efforts mais c'est possible...et qui sait, peut-être aussi avec moins d'effort que ce que l'on croit. “Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse.” -Proverbe Arabe Hélène Boissonneault
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